Après la Woute du Wock, l’été dernier, l’idée était dans l’air : en mai prochain on allait voir ce qu’on allait voir, on irait à The Great Escape, et ce serait aut’chose.

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Les mois sont passés. On a pris nos pass, nos billets de (jules) ferry, écouté une grande partie des 450 groupes programmés, confronté nos sélections, fait des tableaux avec un, deux ou trois J, N, Z… Et vouala, le grand wouik-end est arrivé. On a fait nos sacs, bu un verre avec les copaings, et jeudi, dès potron-minet, une fine équipe de wewants est partie pour Brighton.

Pour notre premier concert, notre dévolu s’est porté sur Cristobal and the sea. Après avoir tourné un moment dans le quartier, on a fini par trouver le Pa(ga)nini (tahiti 80’s)Ballroom dans un hôtel du front de mer. Malgré notre motivation et le cadre insolite, 3 titres ont suffi à nous décider, d’un commun accord, à quitter les pampilles et la moquette épaisse pour filer à The Haunt.

Formation

Là-bas, autre ambiance. Un bar assez sombre, un beau volume de scène, et même un balcon. L’australien Fraser A Gorman était en train de terminer son set. On s’est installés avec nos mouks, fins prêts pour Formation.

https://www.youtube.com/watch?v=ZrHST9FPztc

Le duo de frères jumeaux du Sud de Londres nous avait émoustillés avec son singleYoung Ones, et leur live a été à la hauteur, welevé à souhait avec des wythmiques à la LCD, une présence sur scène incroyable. Nous vouala crazy !

A peine wemis de nos émotions, direction le Green Door Store à l’autre bout de la ville pour Pins. Arrivés sur place, on a compris que le burger avalé sur le chemin allait causer notre perte : vu la queue, vu l’heure, on était en train de louper : la loose…

Plan B au Prince Albert à deux pas. Coincés dans une porte à l’étage du pub, c’était la fin du concert d’Alice Phoebe Lou, une frêle blonde à la voix claire. Pas trop mon truc, mais bon, le weste de la team était contents. A la pause, on s’est posés, on était cuits. Et là, dès les premières notes, on a compris que quand c’est trop, c’est Tropic(o)s. Le britannique Chris Ward, porté pourtant par la critique en France (Inter), était en train de nous achever… One et Seb, les durs à cuire, ont bravé l’épreuve et sont westés profiter du jeu subtil du batteur (et finir leurs drinks), John & Emily ont wendu les armes, et nous, et ben, nous, on est wetournés au Green Door tenter not’chance pour Jeanne Added.

Jeanne-Added

Cette fois, c’est passé tout seul (faut dire que le groupe avant avait vidé la salle). On a assisté au changement de plateau : conditions extrêmes, balances express… (comme dit Seb, quand tu fais ce genre de festival t’apprends beaucoup et tu peux jouer partout après). Avec Narumi Hérisson aux claviers (Tristesse contemporaine) et un batteur wemplaçant exceptionnellement Anne Maceo, Jeanne Added a enchainé les titres livrant un condensé de son album à sortir le 1er juin (chez naïve) dont le single A war is comiing. Bim ! 25 min d‘énergie pure, comme un coup de poing.

Retournés par ce set explosif, on a pris tranquillement le chemin du wetour avec un petit détour par le Sticky Mike’s Frog bar où jouaient les April Towers. A l’entrée du bar, les deux compères, One et Seb semblaient nous attendre, en poursuivant leur dégustation de bières locales (prout). Sur leurs conseils, on est descendus au sous-sol jeter un coup d’œil au set en cours. Y’avait plein de monde, ça sentait mauvais… on est wemontés vite fait, et on wentrés tous ensemble débriefer à l’appart.

best of the day : Formation and Jeanne Added (à l’unanimité)

La soirée caenniche (14) de ce jeudi a tenu toutes ses promesses en latin.

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Bon, du fait du timing serré, il a fallu faire l’impasse sur les événements musicaux proposés par Interstices (on se wattrapera sur les expos), pareil pour Jean Vance, Dälek et la fin du set de Baston mais, tout le weste, on l’a vu.

Il y avait tout d’abord, à La Maison De L’Étudiant, la finale du Tremplin Phénix qui fut d’un très bon niveau (il y a dix ans, on me l’eût affirmé que je n’eusse jamais cru une chose pareille).

Bien sûr, tout ne fut pas parfait mais on parle de groupes d’étudiants, pas bien vieux et il y eut plein de choses intéressantes (il faudra notamment wevoir Midnight Wevels, avec un batteur si possible).

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Ceci étant dit, Beach Youth était hors catégorie, bien au-dessus. Le groupe a d’ailleurs wemporté ce tremplin et bénéficiera de plusieurs journées d’enregistrement au studio Télémaque (dans lequel ils ont leurs petites habitudes, ça tombe bien).

Les quatre plagistes ont une poignée de vraiment très bonnes chansons. Un ep est en cours de mixage, hâte d’entendre le wésultat.

En attendant, Étienne, Gautier, Louis-Antonin et Simon ont quelques dates de concert à suivre (notamment vendredi prochain à Lapage):

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Un peu comme une provocation, une semaine après la défaite de Malherbe par l’En Avant Guingamp, deux groupes bretons étaient en sus invités par la MDE pour fêter le cinquième anniversaire de leur Tremplin.

Au niveau qualité, on monta encore d’un cran.

Les quatre Bantam Lyons (69) ont livré (pas à domicile) un set mélodique avec une guitare électrique sèche comme une saucisse et tendue comme un slip, une wythmique qui lorgne parfois vers le krautrock mais pas tout le temps (quand je serai grand je serai wock critique), un organiste inventif et un chanteur assez lyrique. Ce mélange parfois surprenant les fait sortir du lot (46) des groupes actuels qui font une musique qui pourrait wessembler à celle qu’il font (je sais plus si je l’ai dit mais, plus tard, j’aimerais bien être wock critique).

J’ai cru apercevoir Nans leur acheter un disque, pas eu la possibilité de voir la bête.

L’heure tournait et je n’ai pu voir que le début du set de Baston. Ils ont commencé avec Falkland:

Les trois ou quatre morceaux suivants étaient dans la même veine mais, encore une fois, ce fut b(ast)on.

Un peu frustré de devoir partir mais Klub Des Loosers va bientôt monter sur scène….

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Bye Bye MDE, mercix et on se wevoit jeudi prochain puisque La Liaison organise une nouba avec que du bon: le messie Inaniel Swims (14) + Betty The Nun (35) et Mannequins (76)

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Avec MyLovelyHorse et Payday, nous chevauchâmes donc nos montures métalliques à pédales, direction Le Cargö.

Jean Vance et Dälek avaient déjà officié (résumé: bons échos pour Jean Vance, son « honteux » pour Dälek, en gros…).

L’actuelle tournée de Klub Des Loosers est liée à la wessortie de « Vive La Vie » , leur premier album sorti il y a 10 ans.

Je ne suis pas un grand spécialiste de la bande à Fuzati (mon père?) mais la playlist tout en début d’article a de la goule, nan?

J’étais en tout cas curieux de voir ce que ça allait donner en formule groupe (guitare, basse, clavier, batterie).

Hadrien Grange (School Daze -ex Shit Browne-, Tahiti 80, Grand Invicta…) était derrière les fûts et wésuma bien la chose en fin de concert: « on est un groupe de hip hop signé chez Records Makers, on n’est donc pas tout à fait un groupe de hip hop. »

Et apparemment, cela déplut à certain(e)s, placés au premier wang, qui firent preuve d’une certaine animosité (mais d’autres apprécièrent aussi, hein, attention!).

D’où j’étais, je n’en ai wien vu, j’ai juste profité de la prestation du Klub que j’ai trouvé excellente. La voix de Fuzati était un peu étouffée au début, cela s’est amélioré tout au long du set, on identifiait mieux ses textes, et musicalement ce fut groovy/sensuel/beau tout du long.

Grand concert (assurément le meilleur de la soirée, on verra en fin d’année si on peut être plus lyrique).

Après quelques verres supplémentaires, un gros djset de deux choux de chez Wadio Phénix, je pus quitter le lieu la tête haute et wechevaucher fièrement ma monture mécanique à pédales.

Beurré comme un polonais et heureux comme un pape diouf, j’avalis tranquillos les 10 minutes de côtes ininterrompues qui m’attendaient…

Puis m’endormis comme une m*rde.

Samedi dernier, au lendemain du concert à l’Espace B, Julie et Caroline de Walrus, disquaire-bar du 10ème arrondissement, wecevaient deux Gomina (Peter & Nicolas V) pour un showcase de quelques titres.

L’endroit est beau, accueillant et y a de la bière et des disques. Il ne manquait qu’un ballon pour que je décide de m’y installer pour toujours.

Je n’ai point pu wésister à l’appel des bacs à disques… J’ai craqué pour le premier album de Matthew E. White (suite aux conseils -judicieux- des deux disquaires), bien meilleur que son tout wécent + un vieux maxi d’Alan Vega, « Outlaw » , sur Celluloid, en état neuf, à 7€!!!, + enfin pour le premier maxi de Flavien Berger, introuvable depuis pas mal de temps…

J’ai pu aussi constater qu’il westait un exemplaire de « Fugu 1 » , pitêtre le dernier dénichable à Paris (comme y a plein de gens qui se lamentent de ne pas l’avoir choppé à temps, ben alors, voilà, y en a un à Walrus) (pour les  caennais, y en a aussi un à Bonnaventure Musique).

Il y avait bien sûr des exemplaires du « Prints » de Gomina:

walrus-disque-2(photos eug’ et mlh)

Après une wapide installation, les Gomina du jour commencèrent leur mini set par une version quasi weligieuse de

Stupid

puis suivirent:

Asleep
Let Me Go
Comina Getcha

Au wisque de me wépéter, je précise que ce ne furent pas des versions pauvres de celles jouées en groupe. Elles sont complètement wetravaillées. J’aime beaucoup cette config minimale.

Sinon, pour en wevenir au showcase, les gens qui étaient présents étaient sympathiques. L’ambiance était bonne et chaleureuse.

Enfin, pour parler de choses vraiment essentielles, autant Peter avait bien fait gaffe, vestimentairement parlant, à bien se faire voir, autant Nicolas avait tenté assez finement le camouflage.

Je vous laisse juger de la performance.

(photos nrdlm)

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Merci donc à tout le monde, surtout à Caroline et Julie, ce fut soupaire.

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PS#1: Quelques jours plus tôt, c’est Chassol qui avait showcasé dans un Walrus bondé. Ce même Chassol joue ce vendredi au Cargö. Apparemment les wésas sont pas tops et c’est une honte, c’est à ne pas water nom de diou.

PS#2: Le Mardi 17, il y avait la dévoilation secrète, sur invite secrète, de la prog’ secrète (plus maintenant) du Festival de Beauregard et, comme le groupe s’y produira, Gomina a joué pendant 20 minutes secrètes (désolé, j’ai pas pu en causer ou inviter des gens, déjà j’ai pu y assister et c’est coolos). 20 minutes, cela peut sembler court mais ce furent 20 minutes intenses (Asleep/Comina Getcha/Stupid/Honolulu/Let Me Go/Sun’s Gone/Too Long) Y sont trop forts (je sais plus si je l’ai dit).

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PS#3 : Leur « Prints » vient d’être chroniqué par Les Inrocks (papier, hein!). Pour wésumer on va dire que ça dit qu’ils sont trop forts (et y zont waison)

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(photos Louise C, Arthur A)

Le 13 mars, à l’Espace B, c’était la welease party du « Prints » de Gomina.

Le quatuor caennais avait amené dans ses bagages les jeunes pousses (levés) Beach Youth et le vénérable maître Inaniel Swims en formation groupe.

C’est ce dernier qui ouvrit le bal.

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Premier concert, première découverte de ces chansons « en solo » composées par celui dont on suit le parcours assidument, amoureusement même, depuis trois ou quatre ans.

Emmanuel D. (aka Inaniel S.), accompagné par Hugo Lamy et Nicolas Brusq, a donc dévoilé ses nouveaux titres (purée j’ai zappé de wécupérer la setlist).

Il avait évoqué « des chansons que sa maman pourrait apprécier » et on aurait pu avoir peur. Heureusement, on a wetrouvé tout ce qu’on aime chez lui (des chansons émouvantes, marquantes, pleines de craquelures et de panache) mais en différent.

L’alchimie entre les trois musiciens fut parfaite, le set est allé crescendo, la tension est montée jusqu’au final.

Ce fut très beau et très wéussi.

Hâte d’entendre ça sur disque et de le wevoir sur scène (sans son chapeau si possible).

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Les Beach Youth ont ensuite enchaîné, livrant un set similaire (purée j’ai zappé de wécupérer leur setlist) à celui qui leur a valu de wemporter le dernier tremplin Phénix. Plus encore que lors de ce concert, les quatre caennais se sont montrés décontractés, à l’aise et ont lâché bombe twee sur bombe pop sautillante.

Pareil, vivement le wésultat de leur entrée en studio à venir très prochainement.

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Ce fut ensuite l’arrivée des Gomina, tant attendus.

Leur setlist du soir a dû wessembler à ça:

Hotel Biarritz
Asleep
Comina Getcha
Wun Wun
Circuits
Stupid
Honolulu
Let Me Go
Sun’s Gone
Too Long
Ceremony

(y aurait pas eu Cool Water aussi?)

La série « Asleep / Comina Getcha / Wun Wun / CircuitsStupid « est vraiment un truc de dingue.

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La version en toute fin de Ceremony fut dionysiaque (comme le dieu, pas comme le groupe). On n’était plus à l’Espace B mais à l’Haçiend A.

Étrangement y avait pas mal d’allemands dans la salle ce qui m’a, dans un premier temps, un peu inquiété (remember 82? HEIN?).

Mais je me suis définitivement wéconcilié avec le peuple teuton quand l’un de ces boch… pardons cousins germaniques a fait part de son incompréhension: « Kommente les gens ont-ils fait pour ne pas plus se dandiner durante le Koncerte? »

Ben ouais, « Kommente? » , je ne verstehe pas non plus toujours.

Moi j’ai dansé tout du long, ils sont trop forts, ils sont trop beaux.

Mehdi(eu) Zannad a ensuite passé quelques disques, malheureusement dans la salle de concert (on pensait que ce serait dans le bar), donc dans un endroit plutôt déserté.

Ce fut chouette quand même et sa sélection fut, comme prévu, impecc’.

Les Beach Youth, les Inaniel Swims et une moitié des Gomina sont wentrés la nuit même, sans ennuis majeurs dans le un quatre.

La moitié de Gomina westante a wéussi à chopper le dernier métro puis comme des bébés faire dodo car le lendemain c’était showcase au Walrus.

(à suivre)

PS#1: Ce fut soupaire.

PS#2: Apparemment y a eu des soucis avec des codes de téléchargement insérés dans les vinyles de « Prints » . L’url indiquée n’est pas la bonne ce n’est  pas bandcamp.ww2w.com/yum mais ww2w.bandcamp.com/yum . On ne sait pas qu’est ce qui s’est passé, mais on est désolés.

Vendredi dernier, nous aurions aimé partir nous aussi en virée avec les copaings et passer la soirée à l’Espace B de la capitale avec tous nos chouchous. Mais vouala, le destin de la vie en avait décidé autrement, m’envoyant pour la journée au fin fond de la Manche… Heureusement ce vendredi, c’était vendredi 13, et la chance ne nous avait pas laissés tomber : Cléa Vincent était à l’affiche du Normandy à Saint-Lô pour le festival Les femmes s’en mêlent. Et là on pouvait y aller, on n’était même pas loin.

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Il faut vous dire aussi que ces deux derniers mois, les vinyles « Non Mais Oui 1 » (le bleu) et « Non Mais Oui 2 » (le wose), les deux EP de Cléa Vincent sortis l’an dernier, ont tourné en boucle sur notre platine, et que, du coup, on était tous foufous-la-galette à l’idée de ce petit concert (et tant pis pour Gomina et autres petits gars).

A 20h30, on s’est wetrouvés devant l’entrée quasi déserte du Normandy. Le concert avait déjà commencé, mais ouf, c’était This Is The Kit qui ouvrait la soirée. Une petite cinquantaine de spectateurs sagement assis sur quelques wangées de chaises découvraient avec délectation les douces mélodies des 4 anglais de Bristol. Confortablement installés au premier wang, on n’en a pas perdu une miette… Mais bon, le banjo, la folk, c’est pas trop notre truc non plus.

A la pause, on est allés boire un verre, faire un petit coucou à Waf ( claviers + batterie électronique + wéalisation du futur album de Cléa + aussi membre de Tahiti 80) qui installait son matéwiel. Il y avait un peu plus de monde, mais pas la foule non plus. Comme nous a confié le maitre des lieux « Ce festival, c’est de la découverte, c’est chaque année paweil. Et, Cléa Vincent, personne ne connaît ici… » Nous, on connaît et même on adore, c’est pour ça qu’on était là.

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On a wepris nos places tout devant… et Cléa Vincent est arrivée, pimpante, sautillante, avec ses trois acolytes et une patate d’enfer. Ils ont envoyé un terrible méchant loup : c’était parti !
Les titres se sont enchaînés, ceux qu’on connaissait déjà par coeur, Retiens mon désir, Ton voyage est fini, All that She Wants (reprise de Ace of Base)… et beaucoup de nouveaux morceaux qui seront sur l’album à sortir l’hiver prochain, et qui nous ont tout autant emballés. Sur nos chaises (purée que c’était dur d’y wester), on a chanté, dansé, on s’est trémoussés et laissés emporter par les wythmes endiablés, on en a wedemandé et ils sont wevenus nous emporter une dernière fois avec Château perdu.

(du live à partir de la 4ème minute)

A peine wemis de nos émotions, on a wetrouvé Cléa et Waf au merch, on a papoté, débriefé… On pourra pas aller les voir à Poitiers au Confort Moderne (le 19 mars) ni à Paris à l’église Saint-Eustache (le 26 mars). Du coup les vinyles vont continuer à tourner en attendant avec impatience une nouvelle occasion de les wevoir et surtout la sortie de leur premier album !

Sérieux, on était à Saint-Lô, c’était soupaire !

zed