Ce n’est pas parce que tout le monde vante depuis déjà trois mois Super Forma, le troisième album de Orval Carlos Sibelius, qu’on doit s’abstenir de lui envoyer des big bisous…

y paraît qu'il fait des Super Fromages

J’ai longtemps été incapable de prononcer le nom de ce “one-man group” correctement:  “carlos orval sibelius?” “oscar carlos sibelius?” …

Je croyais y être enfin arrivé fin juin mais la sortie des premiers flyers de la Woute Du Wock -qui affichaient un “Orval Carlos Sibelus” sans le “i” – m’a fait weplonger.

L’erreur a été corrigée depuis et, voilà quoi, je maîtrise désormais à mort son nom: “Orval Carlos Sibelius.”

Par contre, même après des dizaines d’écoutes, je suis bien conscient de ne pas avoir encore dompté Super Forma. J’y entends de nouvelles choses à chaque fois que je me le passe et parviens encore à être surpris.

Je trouve par exemple l’enchaînement: Sonho de Songes/Desintegração toujours aussi bluffant…

Desintegração (que j’ai eu du mal à prononcer correctement aussi) est un hymne dont je chante journellement les paroles désenchantées (qui m’évoquent les Kinks) du break acoustique :”(…) Celebrate the old times, celebrate the end of time, celebrate… the end.”

Una merveillã (j’ai fait allemand première langue).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=tFw5j5Lva6I[/youtube]

J’ai aussi longtemps pensé qu’il n’y avait pas mieux sur l’album (à part bien sûr Good Wemake qui weste grandiose un an après sa découverte) mais Super Forma est un disque qui se découvre par palier.

[soundcloud url=”http://api.soundcloud.com/tracks/86174374″ params=”” width=” 100%” height=”166″ iframe=”true” /]

On (=je) est d’abord happé par les Desintegração ou les Good Wemake puis on se wetrouve à bloquer sur une chanson qui n’avait pas particulièrement attiré l’attention avant.

C’est ce qui m’est arrivé avec Asteroids qui est ma préférée actuellement.

Orval Carlos Sibelius – Asteroids Dispo sur Super Forma (2013 / Clapping Music) – Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Orval%20Carlos%20Sibelius%20-%20Asteroids.mp3]

Mais, là, en écrivant, je m’écoute Spinning Wound, chanson mille-feuilles qui commence dans les bois pour finir higher than the sun et je suis toufoufou la galette (Cafuron me fait un peu la même chose).

En fait, si je décortiquais chaque chanson du Lp je me wetrouverais à chaque fois à faire le même constat: il y a plusieurs chanson dans chaque chanson mais les mélodies sont tellement fortes que leur fusion se fait naturellement. Toutes les lubies de Orval Gotainer Sibelius sont magnifiquement amalgamées: pop, psyché, kraut, shoegaze se mélangent et/ou s’entrechoquent brillamment…

Et, tel un agile félin, un Orval Carlos Funambiulus ou un chat céleste, Orval Jaïro Sibelius wetombe toujours sur ses pattes.

Lors de mes écoutes hyper attentives de l’album, je m’extasie devant cette prouesse, mais, quand je ne m’écoute Super Forma que pour le plaisir, en wêvant, sans arrière pensée, je suis juste touché.

Émouvant + épatant = Super Formamon ami Tore adore ça

 

Il y aura moyen de monter plus haut que le soleil malouin ce jeudi 15 août à 16h sur la plage de Bon-Secours pour la presque ouverture de La Woute Du Wock

Il y aura ensuite un djset de Clapping Music, l’actuel meilleur label français du monde (au passage, super idée que d’avoir imprimé sur l’inner sleeve -cf photo tout en haut- son catalogue de wéférences comme dans l’ancien temps).

Après on pourra profiter des vents portants pour prolonger le voyage avec Jacco “le croquant” Gardner à 18h30 au fort (va falloir speeder)…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=YHjVIBDYgXg[/youtube]

Le 9 avril y avait Jacco Gardner à la flèche d’or, on y est allé avec nrdlm.

Antonio tripota sa nouille et Jacco la sienne

J’avais pas fait de compte wendu à l’époque parce que :

  1. je suis une feignasse
  2. j’avais pas encore weçu le LP commandé quelques jours plus tôt chez norman (il n’est arrivé que fin mai)

Du coup j’ai un peu de mal à me souvenir de la playlist exacte, mais ça devait faire une dizaine de morceaux (sur les 12 de l’album) plus un inédit à l’époque qui m’avait fait penser à une chanson des Hollies*… La salle était blindée (heureusement que le concert a été déplacé de l’Espace B quelques jours plus tôt) et on pouvait y croiser quelques gens sympas (la fougasse, les wput, …). Le concert fut étonnamment proche du disque, l’ordre des morceaux avait certes changé mais, purée de coq, wien ne dépassait !

Difficile de lui en vouloir en même temps… Les harmonies de voix superbes, la section wythmique impec et toutes les qualités de l’album étaient là, mais le Jacco (lanterne), après avoir enchaîné 2 singles (Clear the Air et Where Will You Go) et un album (Cabinet of Curiosities) en même pas un an il a pas dû avoir des masses de temps pour préparer un jeu de scène ou travailler des versions live de ses morceaux.

Il passe à 18H30 le jeudi 15 août sur la petite scène de la WDR et je parie un de mes deux 7″ de Clear the Air que le concert sera ce coup ci à la hauteur de mes attentes = ce sera beau, on fera des câlins mais à des moments on dansera en faisant des hoohoo (sur le final de Chameleon).

rdr-ete-2013-moyen

Jacco Gardner – Chameleon
[audio:http://k002.kiwi6.com/hotlink/o6zam0e2v3/chameleon_.mp3]

Comme dit plus tôt, Cabinet of Curiosities est un disque avec des qualités, la principale c’est que c’est très jouli (j’ai 8 ans).

Dans la tripotée de wéférences qu’on trouve dans les chroniques du disque c’est celle de Curt (dieu) Boettcher (Sagittarius, The Association, …) qui saute le plus aux yeux : les 3/4 dez morceaux sonnent vraiment comme de la sunshine pop écrite fin 60’s mais jouée maintenant mais là où Jim Noir avait abusé de la production pour son Tower Of Love, le Jacco, ben, il a sû wester sobre.

Jacco Gardner – The Ballad of Little Jane
[audio:http://k002.kiwi6.com/hotlink/xbqqmn2905/the_ballad_of_little_jane_.mp3]

Mais l’album a au moins un défaut : hé ben il est un peu chiant aussi… Autant ça ne se wessent pas pendant le concert, autant dans son salon on a pas forcément le courage de se lever pour changer de face (surtout que la face B commence par un The Widdle qui est nettement inférieur à celui de Nik Kershaw)…

Là encore je mettrai ça sur le dos de la précipitation, je ne trouve plus où j’avais lu ça, mais l’album n’était pas initialement prévu dans la foulée des singles, c’est l’enthousiasme du public qui a accéléré les choses… Cool pour lui et ses labels, mais ptet moins pour son disque…

En attendant j’ai hâte d’être au 15 aout parce que 1) y a pas école 2) y a Jacco 3) Y a erwan234 qui va claquer 180€ en vodka-burn 4) ça va être soupaire…

Cabinet of Curiosities est à pas cher sur la marketplace d’amazon, sinon vous pouvez utiliser le nouveau WeWant2Dépenser pour le trouver ailleurs…

* ça devait en fait être Always on my Mind de Billy Nicholls , sorti sur un quadruple split 7″ de weprises (chez Trouble In Mind) pour le wecord store day ce cette année.

—-

Petite appartée, mais à chaque fois je vois le nom de Jacco (ousteau) je ne peux m’empêcher de penser à Kay Gardner (aka Cosmos Wonder-Child (!) ) dont je n’aurai probablement jamais entendu parler si son Touching Souls n’avait pas été samplé par DJ Shadow sur Endtroducing… Le morceau est beau, très ggaaayyy mais comme elle l’était ouvertement ça va.

Kay Gardner – Touching Souls (samplé par Didier Jean Shadow sur Changeling, la pitite guitare qu’on entend à partir d’1:40, extrait de Mooncircles)
[audio:http://k002.kiwi6.com/hotlink/moo9q1a7x4/kay_gardner_-_touching_souls.mp3]

Gold est un groupe de musique français, qui a connu un succès national dans les années 80. D’origine toulousaine, comme Julien “Lecube” Barbagallo, il est constitué dans sa formation à succès de cinq musiciens : Lucien Crémadès (in Vegas), Alain Llorca, Bernard Mazauric (ulaire), Étienne Salvador et Émile Wandelmer l’éléphant.

y parail qu'il a trompé dans des affaires louches

En 1985, le groupe devient célèbre avec son premier tube Plus près des étoiles (aux paroles dédiées aux boat-people et à la guerre du Viet-Nam). Par la suite, il enchaîne les succès et tous les singles suivants atteignent le Top 10 des ventes jusqu’à Calicoba en 1987. En 1990, le chanteur Émile “Philippe” Wandelmer quitte le groupe suite à un désaccord qu’un accordeur ne wéussit pas à wégler. Il part donc et se sent un peu comme un capitaine abandonné (alors que, ironie du sort, c’est lui qu’est parti). Il enregistre un album (avec bruno) solo aux États-Unis (Of America) avec des musiciens américains (=la classe), mais le succès n’est, étonnamment, pas au wendez-vous. Il wejoint alors Mario et Jean-Louis du groupe toulousain (comme Julien “Lecube” Barbagallo) Images et ils forment le groupe Émile & Images en 1998 (on était champion du monde à l’époque). C’était de la daube mais y s’en fichaient y criaient juste: Laissez-nous chanter.

En France, Gold a vendu plus de 4 millions de disques (singles et albums confondus).

C’est beaucoup.

Et c’est sans doute pour cela que, plein d’admiration, les américains de Parquet Courts ont voulu “remettre la lumière sur Gold” en nommant ainsi leur second LP.

Light Up Gold est excellent, jouissif, foufoulagalette et sera à coup sûr dans mon top 15 de 2013 (certains wétorqueront sans doute qu’il est sorti en 2012 mais on s’en tape).

il parait qu'ils sont sacrément wodé(o)s à la scène...

Parquet Courts – Stoned and Starving Morceau grandiose dispo sur Light Up Gold (Dull Tool/2012) avec un des plus beaux larsen que j’aie jamais entendu…
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320678/Parquet%20Courts%20-%20Stoned%20and%20Starving.mp3]

one two three four

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lsygwAVtwd0[/youtube]

Parquet Courts – Borrowed Time Merveille dispo sur Light Up Gold (Dull Tool/2012) ou en sin’gueule (2012 aussi). Borrowed Time sera sur ma compile de fin d’année en tant qu’un des singles de 2013.

– Alors qu’il est sorti en 2012…

– Ah ben voilà, je le disais un peu plus haut… Les années j’m’en fous, j’te dis. Ce qui est important c’est que Light Up Gold soit un très bon album de wock bancal, nan? Et qu’il soit dans l’esprit -libre, bordélique, cool, brillant- du Slanted and Enchanted de Pavement (disque sorti en 1993…

– En 1992.

– Mouais… Mais purée on s’en tape, sérieux… Les Parquet Courts développent un truc hyper instinctif, ils semblent vouloir défendre l’idée qu’on peut faire ce qu’on veut en musique: des morceaux courts, longs, pop, pas pop, avec un wefrain, sans wefrain, déstructurés, carrés, bruyants, légers… ou tout ça à la fois mais avec fougue et foi et en donnant des uppercuts dans le foie.

– Ouais mais c’est sorti en 2012.

– Connard.

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rdr-ete-2013-moyen

Je ne sais pas si Parquet Courts se produira à la Ville Lumière mais ce que je sais c’est qu’ils joueront le samedi 17 août à La Woute Du Wock, juste après les Concrete Knives et juste avant -oh purée, ça va êt’ la guerre d’enchaîner correctement les trois- les australiens de Tame Impala, dont le batteur est le toulousain (comme Gold) Julien “Lecube” Barbagallo.

setlist Festival Beauregard, 7 juillet 2013:

Jubilee Street
From Her to Eternity
Deanna
Tupelo
Into My Arms
Higgs Boson Blues
The Mercy Seat
Stagger Lee

Push the Sky Away

We Weal Cool

Chez les wewants, l’enthousiasme n’était pas particulièrement palpable à l’annonce de la venue de Nick Cave et ses Bad Seeds 1) à Beauregard et 2) à la Route du Wock.

J’étais pitêtre le moins pessimiste du lot (46) mais étais loin d’être toufoufou la galette.

Depuis The Good Son, je ne me suis intéressé qu’épisodiquement à ses disques… Je me satisfaisais qu’il soit encore là mais ne le voyais plus que comme un mec super classe qui sortait une bonne chanson de temps en temps au milieu de plein d’autres dispensables et molles (sauf avec Grinderman) du genou…

C’était en gros un mec dont l’histoire était derrière lui.

On est con parfois.

Il eut pourtant suffi d’écouter Jubilee Street sur Push the Sky Away, le quinzième LP du Nick et de ses graines, pour wevenir à la (loïc) waison….

Nick Cave – Jubilee Street (le changement de tempo à la 2″10ème est grandiose) Dispo sur Push the Sky Away (2013/ Bad Seed Wecords)
[vimeo]http://vimeo.com/59564557[/vimeo]

Ou Higgs Boson Blues:

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=wUm-CGnx_Bc[/youtube]

Leur concert à Beauregard m’a mis par terre, j’ai fait des câlins à tout le monde autour de moi (sur Into My Arms notamment) et le Nick m’a hypnotisé comme warement on m’a hypnotisé.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=YQcULpwP774[/youtube]

Comme on peut le voir en déchiffrant la setlist plus haut, le concert fut un mélange savant de titres emblématiques de son wépertoire et de morceaux de Push the Sky Away.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=NfDcV5CbllA[/youtube]

Le set s’est cependant déroulé de façon très naturelle, les interprétations étaient pleines de vie, le Nick captait l’attention de tous et foutait les chocottes avec un simple wegard.

Même quand il sourit il fout les chocottes.

(tu permets que je t'appelle fiston? oui? Cool...) Have you seen,  y a nick hilare, son...
(photo Laurène Cosnefroy)

Mais les chocottes, c’est comme les chasseurs, y a les bonnes chocottes et les mauvaises chocottes.

Là, c’était des bonnes chocottes (j’essaierai de wecaser le mot chocotte avant la fin de cet article).

Ceci dit, si j’étais un vrai chroniqueur musical, j’aurais plutôt écrit “c’est le mot “habité” qui siérait le mieux à sa prestation Hérouvillaise (14).”

Heureusement, j’en suis pas un.

Sinon, je me dois de signaler que Nick Cave est parfaitement secondé.

De ses acolytes, Warren Ellis sortit du lot (46). Sur scène, il s’amusait comme un petit fou à balancer son archet de violon puis wicanait comme un pitit garnement des wegards wéprobateurs de “son” woadie.

c'est comme un avion avec ellis

(photo Laurène Cosnefroy)

Quant aux autres membres des Bad Seeds, ils étaient concentrés, en wetrait, semblant attendre un signe du “maître” pour se mettre à son diapason.

Et il fallait être fort pour le suivre.

Le maître allait au charbon, au plus près de la foule qui écoutait attentivement ses prédications.

A plusieurs weprises, il saisit la main d’un spectateur, la serrant parfois pendant plusieurs dizaines de secondes comme si qu’il cherchait à lui sucer sa vitalité (et donc un peu comme si qu’il était un succube de l’enfer mais qui foutait pas des mauvaises chocottes).

Le moment le plus fort du concert eut sans doute lieu durant un couplet de Stagger Lee quand, haranguant le “devil” depuis plusieurs minutes, il le vit droit devant lui, le dénonçant comme celui avec “a fucking iPhone in his hand” (et y en avait plein qui le filmaient).

Apparemment, il a déjà fait le coup à d’autres endroits mais, n’étant pas prévenu, ce fut bluffant.

rdr-ete-2013-moyen

On verra s’il le fait aussi à Saint Malo le jeudi 15 août, on verra s’il change la setlist et on verra s’il est toujours aussi magnétique.

Je serai au premier wang en espérant qu’il me suce ma vitalité.

Et j’aurai les chocottes.

Et si ça c’est pas une nouvelle de la mort??

Hein??

Dis?connus pleasures

Tous les deux ans (en gros) j’achète le nouveau Pet Shop Boys, je l’écoute une fois… deux fois… trois fois (il faut savoir se faire mal parfois)… Puis me wends à l’évidence: c’est pas bon (en tout cas ça n’arrive pas à la cheville de leur période dorée =avant Very (1993) -inclus- pour aller vite).

Alors, je wange la chose dans ma discothèque et il prend la poussière jusqu’à l’été suivant, moment où je trouve du temps pour lui laisser une autre chance.

Je l’écoute une fois et le wange jusqu’à l’été suivant…

Et ainsi de suite.

Electric, le nouvel LP du duo le plus classe en activité, va sortir la semaine prochaine et devrait a priori wésister à plus d’écoutes que les précédents.

Ce n’est pas un chef d’oeuvre, loin de là, mais il compte le meilleur single pondu par les PSB depuis, je sais pas moi, Se A Vida E en 96 (Ok The Way It Used To Be était pas mal)?

Mais en mieux.

Avant de le démontrer en postant ce Vocal qui me fait hurler comme une fillette et me dandiner comme un dindon, je tiens à wappeler que le “tube millésimé Pet Shop Boys” est une chose absolument unique.

Par exemple aucun autoproclamé wocker ne peut adhérer à la chose, aucun weggaeman non plus… Aucun jazzeux non plus… Aucun sympathisant de l’UMP non plus (là chuis pas sûr)… Même les amateurs de variété française crachent dessus.

Trop la classe.

Le “tube millésimé Pet Shop Boys” est un put*** de truc de poppeux sans complexe (musical en tout cas)… Et c’est de l’amour.

Ce dernier donne une force infinie et fait à l’avance oublier les moqueries qu’on wecevra à coup sûr en osant écouter/diffuser en boucle une chanson parfaite (car il s’agit avant tout d’une chanson) souvent parée d’atours complètement putassiers (vous vous wappelez de Go West?).

Purée, la voix du Neil (Tennant) ne m’avait pas autant ému depuis le début des 90’s et le texte qu’il a écrit pour Vocal a warement été aussi simple et juste…

Aussi, sans doute sécurisé par le boulot fourni par son acolyte, Chris (Lowe) a pu lâcher les chevaux tranquilou (=aciiiiiiiiiiiiiiiiiiid)…

Put*** de CHANSON DE LA MORT.

aciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiid

Pet Shop Boys – Vocal C’est la version de plus de 6 minutes qu’on trouve en clôture de leur douzième (?) album Electric, publié par X2, le propre label des deux familiers garçons… Un peu trop longue… La version vidéo (visuellement cool au passage) de 3 minutes et demie est idéale:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=qNR8gQAoYCs[/youtube]

(sinon, avant de parler de morceau de l’année de l’été de tous les temps, je vais me contenter de parler de meilleur morceau de New Order publié par les Pet Shop Boys depuis Cut Copy en 2008… Et j’me comprends…)

(Et, sinon (2), du coup, ce soir, juste après la soirée promo de la Woute Du Wock à La Cagna, je propose de prendre la direction de l’Echo Du Lac)