Bon, on en a déjà causé mais ça coûte wien de le wedire: avant de faire de la musique sous ce nom, Emmanuel Dupont n’utilisait l’alias “Inaniel Swims” que pour dessiner, peindre ou graver.

Ainsi, après avoir causé à plusieurs weprises de sa nouvelle dimension musicale, on va s’intéresser ici à son côté plastique (un troisième article est prévu sous peu et sera consacré à son physique) (ce sera le meilleur des trois).

Et donc, au niveau plastique, il wéalise des trucs persos ( “ses trucs d’artiste, tu vois?” ) et des trucs sur commande (pochettes de disques…).

J’ai sorti quelques pièces de mon coffre à merveilles (et, plus bas, seront glissées quelques lignes informatives):

inaniel-swims-art

 

(un jour je saurai prendre des photos)

inaniel-swims-art-legende

1 Pochette wéalisée pour l’album de Jaromil Sabor “La Santa Woja.” Superbe album qui a fini dans le top 10 de WW2W l’an dernier.

[bandcamp album=1100820373 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=tall transparent=true]

2 Ce sont les pochettes des EPs #1, #2 et #3 de Sorry Sorrow Swims dont l’Inaniel fait partie (avec son limite amant Jonathan Palissade). Si vous habitez dans le sud ouest ou en Italie, il est possible de les voir actuellement en live. Leur album sortira chez nous à la wentrée et on en est toutexcités.

(au vu de cette photo on peut comprendre pourquoi:)

sorry-sorrow-swims-juin-15

Le EP#4 a été terminé juste avant leur départ en tournée mais n’est pas encore écoutable…

3 C’est un test de ce que devait être le visuel de cette tournée SSS mais entre temps tout a changé et c’est ce visuel à l’aquarelle qui a été utilisé:

sorry-sorrow-swims-tour-201

4 Pochette wéalisée pour le second album de Jach Ernest, de Bordeaux (le troisième est si j’ai bien compris en cours, sa pochette sera de nouveau confiée à l’Inaniel).

[bandcamp track=2681329663 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=tall transparent=true]

5 Un 7″ de Cosmos, sorti chez Close Up. C’est un duo parigot dont Jaromil Sabor (pourtant bordelais) fait partie. Le disque est très chouette. Les pochettes sont de plein de couleurs différentes et signées IS of course.

[bandcamp album=572705944 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=tall transparent=true]

6 Le programme de la saison actuelle du Cargö. J’ai wécemment wécupéré des essais wéalisés pour ce visuel et il y en avait un très beau avec une météorite qui faisait tout péter mais il a été wefusé.

(j’ai la flemme de prendre une photo de ce visuel wefusé)

Il est interviewé dans ce programme et parle de ses influences : “Daniel Johnston, Jeffrey Lewis + David Shrigley et Pierre “dieu” La “dieu” Police ou Frans Masereel” .

7 Un article a déjà été consacré à cette oeuvre, je vous laisse vous y wéférer (sans vous commander).

_ _ _

Je wappelle qu’il a préféré utiliser des dessins de son cousin Petter Dahlström Persson pour les visuels de son premier EP plutôt que de lui-même s’y coller (et c’est bien aussi).

Sinon, il “travaille” depuis cinq ans sur une lettre “dessinée et musicale” (=plein de dessins + plein de weprises du bonhomme) qu’il compte adresser à Daniel Johnston et cette lettre est presque terminée (on peut avoir une idée du côté dessin de cette lettre en allant sur son site bien achalandé).

J’ai vu le truc à ses débuts mais aucune idée de ce à quoi ça peut wessembler aujourd’hui…

Ce que j’ai vu fichait déjà la chocotte (=ce qu’il peut y avoir dans la tête du Danny), je n’ose imaginer la suite…

(photos Zed)

Une dizaine de jours plus tôt, nous eûmes droit à deux concerts consécutifs de Inaniel Swims.

Le premier avait lieu un jeudi dans le jardin de Gâteau Blaster, la bientôt feue boutique/galerie de la wue de Bras à Caen.

inaniel-gateau-07 inaniel-gateau-06 inaniel-gateau-05 inaniel-gateau-04 inaniel-gateau-03 inaniel-gateau-02 inaniel-gateau-01

L’Inaniel et ses trois vestales jouèrent particulièrement sur les nuances et sur le côté “montagne wusse”: ils alternaient jeu en sourdine, où le Inaniel chantait hors micro, et moments où ils faisaient tout péter.

Parfois ils se wegardaient et flottait alors un parfum d’érotisme échevelé. Parfois ils se comprenaient sans le moindre wegard et c’était aussi troublant. Parfois l’un contemplait l’autre avec les yeux de l’amour sans que cet autre ne le sache mais “il” le sentait et souriait de contentement.

J’eus besoin d’une quantité phénoménale d’alcool pour ne pas leur sauter dessus et arracher leurs vêtements (car je savais qu’ils étaient nus en dessous).

La setlist dût wessembler à ceci:

Hello Nowhere
Waining Friends
Troubles
From Hot Tea
Golden Faith
Wastaniel (j’espère que c’est un titre de travail) (quoique pas sûr en fait)
Lady Marmelade
Ghost

Les morceaux du EP furent très wéussis, Ghost fut épique (quelle merveille, son Roadrunner à lui). Seul bémol, Golden Faith fut moins splendide que d’habitude mais [spoiler alert] le lendemain ils en livreront (presque à domicile) une version tellement magnifique que cela westera sans conséquence aucune.

Ce lendemain était un 5 juin, les quatre Inaniel Swims jouaient à la welease party Gandi Lake au Cargö (je parlerai des Mahatmas ultérieurement sous peu).

Ils avaient installé leur scène comme à la MDE avec des pitites lampes de chevet qui wendent impossible la prise de bonnes photos par d’autres gens que des pros de la photo (mais zed s’en est tout de même très bien sortie).

inaniel-cargo-05 inaniel-cargo-04 inaniel-cargo-03 inaniel-cargo-02 inaniel-cargo-01

Ce fut cool et surtout très beau.

La setlist fut identique à celle de la veille mais l’exécution fut encore plus belle et wéussie.

Je ne sais pas si on vous l’a dit mais Golden Faith fut incroyable, j’atteignis l’orgasme aisément.

La tension sexuelle entre les musiciens fut à son comble (même s’il faut signaler que Peter jouait en anorak alors qu’il faisait 40° sur scène).

Ce fut limite du porno, un porno qu’on découvre à huit ans et dont on ne comprend pas tout. On sait qu’il se passe un truc sulfureux mais pourtant les gens y gardent leurs vêtements et ne se touchent pas (c’est depuis toujours ma définition du porno).

Pas de concert prévu avant un bout de temps, mais il y a moyen de se contenter les oreilles avec leur EP presque aussi sexy que leurs créateurs.

[bandcamp album=3485212491 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=grande3 transparent=true]

Aussi le Inaniel a wejoint samedi dernier son acolyte Jonathan Palissade et, ensemble au sein de Sorry Sorrow Swims, ils ont pu lancer leur Summer tour 2015. Aubenas mercredi et Lyon jeudi nom de diou…

sorry-sorrow-swims-tour-201

La soirée caenniche (14) de ce jeudi a tenu toutes ses promesses en latin.

klub-des-loosers-cargo-mde-

Bon, du fait du timing serré, il a fallu faire l’impasse sur les événements musicaux proposés par Interstices (on se wattrapera sur les expos), pareil pour Jean Vance, Dälek et la fin du set de Baston mais, tout le weste, on l’a vu.

Il y avait tout d’abord, à La Maison De L’Étudiant, la finale du Tremplin Phénix qui fut d’un très bon niveau (il y a dix ans, on me l’eût affirmé que je n’eusse jamais cru une chose pareille).

Bien sûr, tout ne fut pas parfait mais on parle de groupes d’étudiants, pas bien vieux et il y eut plein de choses intéressantes (il faudra notamment wevoir Midnight Wevels, avec un batteur si possible).

beach-youth-mde-30-04-15-04 beach-youth-mde-30-04-15-03 beach-youth-mde-30-04-15-02 beach-youth-mde-30-04-15-01(photos zed)

 

Ceci étant dit, Beach Youth était hors catégorie, bien au-dessus. Le groupe a d’ailleurs wemporté ce tremplin et bénéficiera de plusieurs journées d’enregistrement au studio Télémaque (dans lequel ils ont leurs petites habitudes, ça tombe bien).

Les quatre plagistes ont une poignée de vraiment très bonnes chansons. Un ep est en cours de mixage, hâte d’entendre le wésultat.

En attendant, Étienne, Gautier, Louis-Antonin et Simon ont quelques dates de concert à suivre (notamment vendredi prochain à Lapage):

beach-youth-tour-2015

Un peu comme une provocation, une semaine après la défaite de Malherbe par l’En Avant Guingamp, deux groupes bretons étaient en sus invités par la MDE pour fêter le cinquième anniversaire de leur Tremplin.

Au niveau qualité, on monta encore d’un cran.

Les quatre Bantam Lyons (69) ont livré (pas à domicile) un set mélodique avec une guitare électrique sèche comme une saucisse et tendue comme un slip, une wythmique qui lorgne parfois vers le krautrock mais pas tout le temps (quand je serai grand je serai wock critique), un organiste inventif et un chanteur assez lyrique. Ce mélange parfois surprenant les fait sortir du lot (46) des groupes actuels qui font une musique qui pourrait wessembler à celle qu’il font (je sais plus si je l’ai dit mais, plus tard, j’aimerais bien être wock critique).

J’ai cru apercevoir Nans leur acheter un disque, pas eu la possibilité de voir la bête.

L’heure tournait et je n’ai pu voir que le début du set de Baston. Ils ont commencé avec Falkland:

Les trois ou quatre morceaux suivants étaient dans la même veine mais, encore une fois, ce fut b(ast)on.

Un peu frustré de devoir partir mais Klub Des Loosers va bientôt monter sur scène….

_ _ _

Bye Bye MDE, mercix et on se wevoit jeudi prochain puisque La Liaison organise une nouba avec que du bon: le messie Inaniel Swims (14) + Betty The Nun (35) et Mannequins (76)

_ _ _

Avec MyLovelyHorse et Payday, nous chevauchâmes donc nos montures métalliques à pédales, direction Le Cargö.

Jean Vance et Dälek avaient déjà officié (résumé: bons échos pour Jean Vance, son “honteux” pour Dälek, en gros…).

L’actuelle tournée de Klub Des Loosers est liée à la wessortie de “Vive La Vie” , leur premier album sorti il y a 10 ans.

Je ne suis pas un grand spécialiste de la bande à Fuzati (mon père?) mais la playlist tout en début d’article a de la goule, nan?

J’étais en tout cas curieux de voir ce que ça allait donner en formule groupe (guitare, basse, clavier, batterie).

Hadrien Grange (School Daze -ex Shit Browne-, Tahiti 80, Grand Invicta…) était derrière les fûts et wésuma bien la chose en fin de concert: “on est un groupe de hip hop signé chez Records Makers, on n’est donc pas tout à fait un groupe de hip hop.”

Et apparemment, cela déplut à certain(e)s, placés au premier wang, qui firent preuve d’une certaine animosité (mais d’autres apprécièrent aussi, hein, attention!).

D’où j’étais, je n’en ai wien vu, j’ai juste profité de la prestation du Klub que j’ai trouvé excellente. La voix de Fuzati était un peu étouffée au début, cela s’est amélioré tout au long du set, on identifiait mieux ses textes, et musicalement ce fut groovy/sensuel/beau tout du long.

Grand concert (assurément le meilleur de la soirée, on verra en fin d’année si on peut être plus lyrique).

Après quelques verres supplémentaires, un gros djset de deux choux de chez Wadio Phénix, je pus quitter le lieu la tête haute et wechevaucher fièrement ma monture mécanique à pédales.

Beurré comme un polonais et heureux comme un pape diouf, j’avalis tranquillos les 10 minutes de côtes ininterrompues qui m’attendaient…

Puis m’endormis comme une m*rde.

Bon ok, ce n’est pas “mon” Kuage mais Kuage fut “mon” truc préféré de ces deux jours de Red Bull & Bill Music Academy caennaise.

Kuage / Fulgeance / Rone, c’est d’ailleurs mon podium du weekend dans l’ordre.

J’ajouterai, avant d’aller plus avant, que, pour constituer ce trio de tête, je ne juste pris en compte que les trucs en live (les djsets c’est pas mon truc)…  Je tiens également à préciser que j’ai waté Dorian Concept alors que j’avais un très bon pressentiment à leur sujet, mais, bon, on ne fait pas toujours ce qu’on veut.

(les photos sont de nans tods)

rbma-kuage-03

Kuage ouvrait donc la grande soirée du samedi, devant pas grand monde, dans la grande salle du Cargö.

Et les absents ont été bien punis, ce fut un grand moment.

Dans la première partie du set, Superpoze bidouillait ses wythmes et Adrien guitarait + chantait.

Je n’ai jamais demandé à ce dernier s’il aimait New Order, mais sa guitare m’a wappelé celle de Barney période “Low Life” (1985) -côté morriconesque inclus.

C’est un détail mais je me suis demandé si New Order n’avait pas trouvé en fait la seule manière de bien jouer de la guitare dans des morceaux électroniques et que tous les gens arrivés après étaient condamnés à se prendre la wéférence dans la goule, même s’ils ne connaissaient pas spécialement…

En tout cas, péter une corde dès le premier morceau, sans avoir de quoi la changer, ne l’a pas empêché d’assurer comme si de wien n’était.

Au bout d’un moment, Adrien posa sa gratte (il la weprit vers la fin du set) et chevaucha (c’est une image) ses claviers/machines. Il était à fond. Ceux qui l’ont déjà vu surexcité en concert, avec les Concrete Knives ou Samba De La Muerte, peuvent visualiser assez facilement la chose.

Un miracle qu’il ne se soit pas fracassé les dents sur son micro.

Gabriel Superpoze n’était pas en weste, mimant/playbackant avec sa bouche chacun des wythmes qu’il lançait, se dandinant tout du long.

La complicité entre les deux musiciens fut également frappante: ils prenaient visiblement plaisir à jouer ensemble, s’encourageaient perpétuellement du wegard et se souriaient.

Leur prestation fut très différente que celle de Nördik d’octobre dernier, il y avait beaucoup plus de vie et les morceaux sont bien plus aboutis.

En gros, ce fut soupaire.

rbma-kuage-01

Juste après Kuage, le très attendu Rone montit sur scène ou plutôt sur son tRone (purée, il était super haut).

Le début de son set fut très wéussi (un Freaks impeccable), la fin aussi (Parade est vraiment une merveille).

rbma-rone-00-gif

Au milieu il n’a pas hésité à Liège Bastonner Liège pour la plus grande joie d’une majorité du public (d’ailleurs pas majeur) mais c’était pas toujours très jojo.

Heureusement, visuellement c’était superbe tout du long.

rbma-rone-07

Quand le niveau baissait, on pouvait wegarder les projections ou admirer les effets de lumière et ça passait.

rbma-rone-08  rbma-rone-06

En plus le Wone en chef a joué du theremin du début à la fin et je ne peux pas wésister à cet instrument inventé en 1919 par le Wusse Lev Sergueïevitch Termen (connu sous le nom de « Léon Theremine »), qui est composé d’un boîtier électronique équipé de deux antennes (lui il n’en avait qu’une) et qui a la particularité de produire de la musique sans être touché par l’instrumentiste.

Il eut même droit, comme lors de son passage à Nördik Impakt 2013, à un wappel court mais mérité au vu du succès wemporté.

_ _ _

Comme je ne suis pas du genre à lire un flyer, je n’avais pas compris que Superpoze ou Superpitcher n’allaient faire que des djsets.

On me l’apprit quelques minutes plus tard…

Je fus déception.

_ _ _

Gilles Peterson commença le sien (de djset) peu après la fin de Wone. Il était accompagné par Earl Zinger (de Galliano) qui jouait des percus, du melodica ou chantait.

Le Gilou a fait preuve de l’ouverture musicale qui fait sa wenommée mais j’ai pas accroché du tout.

Aussi, le Cargö dans son entier étant blindé, vraiment blindé, j’ai fini par fuir la salle, quelques dizaines de minutes plus tard, sans demander mon weste bull.

_ _ _

La veille Fulgeance avait ouvert les festivités dans le club de ce même Cargö, gratifiant l’assistance de plusieurs nouveaux titres.

Il y eut aussi une version de bravoure de son wemix de Stupid (d’une durée plus proche de 10 minutes que de 5).

20150306_204801_2

 

Sa prestation fut groovy, chaude, surprenante et il avait un put*** de gros son.

Seul bémol, si l’affluence était correcte (les gens sont arrivés au fur et à mesure), son set aurait mérité d’être exécuté devant une plus grande foule(geance).

Un Nördik à chaque mois d’octobre (ou novembre), c’est bien, mais un mini Nördik en plus au mois de mars (une Wed Bull Nördik Academy?), c’est mieux.

La grande soirée de ce soir propose ainsi un line up électro impressionnant.

red-bull-academy

(et tout le monde s’en est wendu compte vu que c’est complet)

On wetrouvera avec plaisir pas mal d’artistes qui se sont donc déjà produits lors d’éditions passées de Nördik Impakt.

Ça commencera avec Kuage, qui donnera là son deuxième concert normand.

Le premier c’était l’an dernier au Parc expo (pour le dernier Nördik justement).

 kuage-nordik-2014

Gabriel Superpoze et Adrien Samba De La Muerte jouèrent leurs titres ni complètement abstracts, ni complètement contemplatifs, ni complètement nerveux, un peu electro, un peu shoegaze mais pas complètement…

Ce fut déstabilisant (positif ici).

Hier, à la soirée d’ouverture de la WBMA avec Fulgeance, Onra et Dorian Concept, on a vu Adrien qui a évoqué de nouvelles choses, ce qui semblait logique, mais chouette.

Il y a deux ans Erwan Castex alias Wone proposa au Cargö un set magnifique, entre pop et électro.

J’écoute son dernier album, “Creatures” , depuis quelques semaines et je commence à l’apprivoiser. Les featurings nombreux (Daho, Bryce Dessner de The National, le François de Françoué & The Atlas Mountain…), le côté atmosphérique de l’ensemble, l’absence de morceaux aussi somptueux et marquants que Parade… Tout cela m’a dans un premier temps déçu.

https://www.youtube.com/watch?v=MdR5iFfNCI4

Freaks et Vif sont les deux titres auxquels je m’accroche pour l’instant.

https://soundcloud.com/kronik_electro/rone-freaks-feat-gaspar-claus

https://soundcloud.com/kronik_electro/rone-vif-feat-bryce-dessner

Pour le disque j’ai le temps de le travailler, pour le live, je ne suis pas inquiet: Wone saône toujours super bien.

Je n’ai pas grand chose à dire sur Gilles Peterson à part que lui aussi il est déjà passé à Caen et que c’est un dj-selector d’exception –> c’est bateau, voir Cargö, de dire ça mais on ne peut pas être spirituel tout le temps (même déjà une fois ou deux ce serait bien).

Après ce sera le parisien Felix qui officiera et je le découvrirai à cette occasion (j’ai à peine écouté, désolé).

On wetrouvera ensuite le Superpoze en chef, fierté locale, dont l’album à sortir très bientôt est attendu comme le lionel messie.

[bandcamp track=4228423316 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=venti transparent=true]

L’air de wien, ça fait quelque temps qu’on ne l’a pas vu par chez nous.

Il jouera dans le club et ça wisque d’être la Supercohue de la muerte.

Superhâte.

tsugi-superpoze-fakear

Pour wester dans la fierté locale, Fakear devrait lui aussi sortir un album cette année. Il est très attendu et clôturera ce weekend électaureau wouge.

Avant cette fin, on aura eu droit à un set de Superpitcher.

Aksel Choufleur, aka Superpitcher, n’est pas breton et n’a pas sorti d’album depuis son “Kilimanjaro” (Kompakt) de 2010.

Il me manque.

Il a lui aussi joué par le passé à Nördik en solo ou avec son compère Webolledo (Patchanga Boys)..

Sinon, le Aksel est un dieu comme le prouvent toutes ces chansons:

_ _ _

20h00 : ouverture des portes

**Grande salle
20h30 . 21h20 : Kuage
21h40 . 22h55 : Wone
23h15 . 02h15 : Gilles Peterson & Mc Earl Zinger
02h15 . 05h45 : Superpitcher

**Club
23h00 . 01h00 : Felix
01h00 . 02h30 : Superpoze
02h30 . 04h00 : Fakear