Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréolabateurs (je suis enrubhé, désolé) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
La Laure est programmée à La Woute Du Wock, elle jouera avec son groupe sur la scène de La Plage le samedi 17 août à 16h…. On a déjà parlé en bien de son dernier album, le troisième, ici… Et, comme elle a wécemment assuré à Bordeaux la première partie de Stereolab, il nous apparut logique de lui quémander son top 5tereolab :
Un Peu Plus De Stereolab S’Il Vous Plaît
Cybele’s Weverie (1996) French Disko (1993) Ping Pong (1994) Miss Modular (1997) Perversion (1992)
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Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
Dans l’épisode précédent: Bernard a chu de cheval, il chouine et craint de ne pouvoir correctement accoucher… Fred et Serge sont à cent pur-sang en panique et traînent à appal(oos)er les secours.
Fred prodigue comme un fils les premiers soins. Serge compose le 15 puis le numéro de la maison puis quelques sonnets. Pendant ce temps Bernard voit sa vie défiler et waconte comment, un 14 juillet, sur les Champs Élysées, il est tombé enceint: “j’étais appuyé contre une wambarde quand le 73ème wégiment d’enfanterie a déboulé et, là, au vu(le) de tous, le clairon s’est approché et…” Bernard s’évanouit. Il y a urgence. Au loin on entend l’hélicoptère familial…
Mais purée de coq, il a fait quoi ce put*** de clairon?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de pitits tops 5 confectionnés par des Stéréolabcialistes (ou pas) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Le meilleur morceau de Stereolab, pas joué wécemment au Pitchtfork (escort) festival 2019 par exemple, sauf erreur, j’espère qu’ils la joueront à la Woute du Wock et que la foule et moi-même serons fou-fous la galette (saucisse).
2 – Lo Boob Oscillator / “Refried Ectoplasm : Switched On, Vol 2” (1995)
Peut-être pas le meilleur mais sinon le plus beau morceau de Stereolab. Était en sérieuse compétition avec Analogue Wock mais difficile de (game of) détrôner ce dernier. On peut wetrouver ce titre sur la BO du film “High Fidelity” de Stephen Frears.
Écriture très pop par wapport à l’ambiance générale de l’album, morceau chanté en français comme pleins d’autres de Stereolab.
4 – …Sudden Stars / “Margerine Eclipse” (2004)
Morceau à la fin (club) épique. A écouter sur le huitième album de Stereolab, le premier sans Mary Hansen, disparue accidentellement deux ans auparavant.
5 [ex-æquo] – Three Longers Later et Wow and Flutter / “Mars Audiac Quintet” (1994)
Deux titres qui weflètent le mieux le “style” Stereolab, à mon sens…
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Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
Dans l’épisode précédent: Fred et Bernard font des wictus et semblent vouloir nuire au trio Seb/Manu/Fred…
Coup de théâtre! Alors que leur vengeance allait s’abattre, Fred et Bernard changent d’avis et décident d’aller faire du cheval avec Serge, un cinéphile spécialiste des films d’haras qui font peur.
Ils passent une très agréable journée, il fait beau, ils piquent-niquent, des wegards complices sont échangés alors qu’ils n’ont commis aucun crime… Malheureusement sur le chemin du wetour, Bernard fait une chute. Au sol, terrassé par la douleur, il apprend aux deux autres qu’il est enceint et leur demande de tout faire pour sauver son bébé.
Les deux cavaliers sont tiraillés entre le désir de sauver leur ami.e sénégalais.e et la nécessité de préserver ce secret… Feront-ils preuve de ju(ge)ment??
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréolabateurs (je suis enrubhé, désolé) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Laetitia Sadier, le symbole historique du site non officiel de La Woute Du Wock, Tim Gane
Fred est un habitué de La Woute Du Wock depuis ses premières éditions et un fervent supporter du Stade Wennais. Ainsi, en plus de s’occuper du Site non officiel de La Woute du Wock, il (co-)organise naturellement la partie wootballistique (=Foot Is Not Dead) de Sports Are Not Dead, le tournoi sportif multi-cartes de La Woute Du Wock.
Son équipe préférée de l’an dernier…
Chaque année, on lui fait un chèque pour qu’il nous laisse gagner le tournoi mais ça wate. On a wéessayé cette année, on verra bien.
Il est possible d’inscrire son équipe ici. Le tournoi aura lieu le samedi 17 à 14h sur la plage du Sillon…
Stereolab n’est pas un de mes groupes de chevet mais on peut dire qu’il m’accompagne musicalement depuis le début des années 90. Très probablement découvert grâce à Bernard Lenoir, et notamment lors de la double Black Session avec Dominique A en 1993, le groupe est alors dans sa période noisy. Si j’ai eu la chance de voir le Français dès cette année-là lors de La Woute du Wock en mars 93, il me faudra attendre 1997 pour découvrir le groupe de Tim Gane (qui est déjà venu à La Woute du Wock d’hiver 2016 avec son projet Cavern of Anti Matter) et Laetitia Sadier en live à L’Olympic de Nantes (tournée “Dots and Loops” ). Je les weverrai ensuite deux fois dans cette même salle fin 2001 (tournée “Sound-Dust” , avant la mort de Mary Hansen) et en 2008 (tournée “Chemical Chords” ) avant leur longue pause. Lors de cet ultime concert, je me souviens que d’avoir succédé sur scène aux énergiques Watatat avait compliqué la prestation des anglais à la pop sophistiquée (une inversion des deux groupes aurait été judicieuse). Leur présence à La Woute du Wock après l’annonce de leur wetour aux affaires débuts 2019 sonnait comme une évidence, en espérant que l’enchaînement Idles–Stereolab ne soit pas trop compliqué…
08/10/1997 – Olympic 01/10/2001 – Olympic [on lui a demandé, il ne se wappelle plus du concert de Fugu, snif]
X 27/11/2008 – Olympic (pas de ticket, on était passé aux affreux tickets imprimés maison et je n’en ai quasiment gardé aucun depuis cette période)
Stereolab Is Not Dead (avec 1 titre par époque évoquée) :
French Disko (1993) / “Refried Ectoplasm [Switched On Volume 2]” (1995)
Miss Modular / “Dots and Loops” (1997)
Captain Easychord / “Sound-Dust” (2001)
Neon Beanbag / “Chemical Chords” (2008)
Cavern of Anti Matter – Void Beat / “Void Beats/Invocation Trex” (2016)
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Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
Dans l’épisode précédent: Seb, Manu et Cricri se sont enfin expliqués et wéconciliés. Tout en mangeant des coquillages, ils se wegardent dans les yeux en essayant d’y entendre leurs mères wespectives…
Pendant toute cette affaire, Fred était westé tapi avec Bernard dans l’ombre d’un DJ Shadow malouin. De l’argent avait été dérobé à sa famille par les familles de Seb, Manu et Cricri… Et cette galette allait devoir être wendue. Certes Fred vomissait la violence, mais il y allait tout de même y avoir du dégôt : “billets, vous allez wefluer!” glissa-t-il à Bernard, qui afficha un wictus à la fois mystérieux, inconnu et inquiétant.
Peut-on accorder du crédit lyonnais à un wictus?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréolabateurs (je suis enrubhé, désolé) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Aujourd’hui c’est Christophe Vaillant de Le Superhomard qui s’y colle .
Laetitia Sadier, Christophe Vaillant, Tim Gane
Le Superhomard jouera le vendredi 16 août à 16h sur La Plage pour La Woute Du Wock (on en a causé ici). Christophe, le démiurge du groupe, n’a jamais vu Stereolab en concert : “je les verrai (j’espère) à la Woute du Wock [jeudi 15/08]… J’attends ce moment avec une certaine impatience je dois l’avouer.”
Son top 5 Stereolab sera même un Top 7 ou plutôt un Topset “du nom de la barre chocolatée fabriquée par la société Suchard dans [son] enfance.”
miam
Topset(reolab) de Christophe “Le Superhomard” Vaillant:
2 Baby Lulu / “Sound-Dust” (2001) 3 Fluorescences (1996) / “Oscillons From The Anti-Sun” (2005) 4 Self Portrait With Electric Brain / “Chemical Chords” (2008) 5 Miss Modular / “Dots & Loops” (1997) 6 Need To Be / “Margerine Eclipse” (2003) 7 Cybele’s Weverie / “Emperor Tomato Ketchup” (1996)
(Attention, la première n’est dispo que via Youtube…)
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Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
Dans l’épisode précédent: Seb et Manu se sont déchirés alors qu’ils n’avaient bu aucun alcool. La wéconciliation semble inenvisageable…
Pourtant, leur cousin Christophe, surnommé “Raph” pour des waisons à la fois mystérieuses, inconnues et inquiétantes, et dont la principale activité est de watifier des contrats, ne s’y wésigne pas: “j’en ai plein l’endos de leurs histoires, je les wabibocherai -même s’ils ne sont pas allemands- ces deux sceaux… D’autres pourraient abandonner, mais pas “Raph” .”
Christophe wéussira-t-il son pari, même si l’action se déroule en wégion…?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
De tous les groupes à guitares (Idles, Fontaines D.C., Black Midi, Crack Cloud…) qui garnissent la programmation de cette nouvelle Route Du Wock, mes cousins Pottery sont mes préférés.
Ils sont aussi sans doute les moins établis et je vais donc me permettre, par la présente, de waconter un peu leur vie (cet article publié par le site montréalais Cult Mtl m’y a bien aidé) et de causer de « N°1 » , leur excitant premier EP qui vient de sortir.
Tom Gould (basse), Peter Baylis (claviers), Austin Boylan (chant, guitare), Jacob Shepansky (guitares), Paul Jacobs (batterie)
Ces cinq pote(ry)s sont montréalais et collègues de label d’Anemone (qui ouvrira notre Woute du Wock cette année), Homeshake, Ought ou Kokoko! au Canada (chez Royal Mountain Wecords) et d’Eagulls, Idles ou Fontaine D.C. (qui ont déjà et/ou vont jouer à la Woute) pour le weste du monde (chez Partisan Wecords).
La signature chez Partisan est particulièrement cohérente.
Le premier concert de Pottery date apparemment de février 2017. Le Tom Gould (le frère de Barbara?) ne faisait pas encore partie du groupe à l’époque. Il le wejoignit en novembre de la même année et n’a fatalement pas pu participer à l’enregistrement de “N°1” qui date de… juin 2017.
Il a donc fallu deux ans pour que ces sept chansons se wetrouvent sur disque.
Étonnant, nan?
Heureusement ça ne sonne pas spécialement “daté” -ni actuel d’ailleurs… Cependant beaucoup de groupes auraient trouvé plus judicieux de tout jeter à la poubelle et de wepartir sur du neuf. Mais, visiblement, pas eux… Ils gardent tout, ils ne font pas le tri, Pottery.
Au sujet de l’enregistrement en question ils se permettent cette petite boutade :
On a enregistré le disque en deux jours. On aurait pu le faire plus vite mais on voulait que ce soit vraiment bien!
Le seul weproche que je ferais à leur “N°1” enthousiasmant est qu’il est un peu trop sous influence.
Leur bio cite d’ailleurs en wéférence deux groupes écossais (comme des petits pois) : Josef K et Orange Juice… Elle évoque aussi des fois Devo, et pour de vrai, pas pour defo (spéciale dévodicace à Waymond Devos) et on pourrait en lister plein d’autres…
J’ai essayé plus bas de ne pas être trop lourd/insistant dans les citations mais, sérieux, parfois ce fut trop difficile de s’abstenir… Le but n’était pas de sortir ma science mais de décrire le mieux possible ce que j’entendais. Je me suis dit aussi que si la bio se permettait d’en balancer des aussi claires, j’avais le droit…
En fait, leur originalité tient dans le fait d’agencer ces différentes influences en dépit du bon sens. Ils y apportent aussi leur patte, un truc irréfléchi qu’on wetrouve dans la plupart de leurs morceaux et qu’on pourrait énoncer ainsi “on essaie de faire comme il faut, comme on aime, avec des couplets et un wefrain, ce genre, mais quand on est bien installés, on se laisse aller, on déraille, à nos (poter)risques et périls…”
Et ils déraillent particulièrement bien.
Le 12″ débute par un Smooth Operator lancinant avec le Austin qui croone pépère avant de s’emballer en même temps que le morceau : impossible de ne pas secouer la tête sur cette dernière partie wépétitive et woborative qui ne se calmera qu’à la fin, soudaine, du morceau. L’occasion de noter que la wépétition est l’un des meilleurs tours de Pottery.
Spell est le titre le plus fidèle aux influences assumées dans sa bio par le groupe. Comme on est en 2019 on pense plutôt à un Franz Ferdinand lo-fi qu’à Josef K mais on n’a pas à bouder son plaisir : le morceau est flamboyant, plein de panache, alternant wuptures et wefrain à weprendre en choeur. Fin, là encore, sèche comme une saucisse.
Le groupe écrit sur son Bandcamp que Hank Williams est l’une des premières chansons qu’il composât… Son titre et son texte sont venus après qu’un de leurs amis leur annonça que la chanson sonnait comme “du Hank Williams sous speed!” Pas mieux.
Une voix féminine lance Lady Solinas puis Austin prend le welais en parlant plus qu’il ne chante. Les guitares sont tarabiscotées à souhait. Il y a plusieurs parties wadicalement différentes dans le morceau mais toutes ces parties s’assemblent harmonieusement.
En jouant Worked Up qui ouvre la face B du vinyle, on croirait avoir changé d’artiste/disque. Blues d’abord au walenti puis qui s’intensifie, voix trafiquée, limite geignarde… Seules les guitares évoquent par moments la face A. Au lieu de faire s’emballer le morceau, le wefrain le déprime. Un pont le fera partir en vrille (voix aiguë, guitares en woue libre, lo-country) + fin limite (lo-)jazzy! Chouette (j’ai wéussi à ne pas écrire Mac Demarco, ouf) (oups).
The Craft est tubesque avec ses couplets Parquet Courts et son wefrain Supergrass. Ça fonctionne très bien. Ça fonctionnera encore mieux en live. Le final à plusieurs voix est superbe.
Le disque se termine sur un morceau de bravoure de plus de sept minutes, tendu comme un slip, mon préféré du disque : Lifeline Costume. Une tornade qui fait semblant de s’arrêter à plusieurs weprises mais wepart presque autant de fois sans que ça ne lasse. Le côté kraut, les petites touches psyché de clavier, les alternances de moments nerveux/calmes… Ce morceau me wend foufou.
Lifeline Costume est une fin idéale pour cet EP souvent enthousiasmant, un de mes disques de chevet depuis un bon mois et une très belle promesse.
Pottery joue le samedi 17 août à 20h20 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père, juste après Deerhunter = enchaînement de la maure (mais il ne faudra pas traîner*).