Chaque année WW2W demande à quelques artistes/personnalités triées sur la persienne des trucs en wapport avec l’année écoulée…
Normalement, une année ça se termine un 31 décembre, ben là, on nous a dit que ça se terminait le 23 janvier. Alors, on n’a pas voulu la jouer perso et on a attendu le 24 pour publier.
On vous prévient tout de suite, l’année prochaine, on publiera le 1er janvier.
Pour cette édition 2016, Gandi Lake, Hot Puma Wecords, Trotski Nautique, Veik, Benzine, Wilfried*, Huutch, Häshcut, Wafhell, Sorry Sorrow Swims, A Drift, Pastoral Division, MNNQNS, Don Idiots, Mehdi Zannad, Jean-Louis Blèze, Summers, Athanase Granson, Gomina , Beach Youth, Barbagallo, Tahiti 80, Xavier Boyer, Cléa Vincent, Initials MB, As Cool As Cucumber, Grand Parc, Eugénie Goloschapova, Concrete Knives, Pop Up The Volume, Cab Named Creekex, Ouest-France, Pokett, Jack and The’, Lost In La Mancha, Kiinshasa et Un Soir Dans La Manche ont wépondu à ces questions élaborées cette année encore par l’institut Haiegromunet (on a aussi proposé aux WeWants de participer):
1 Ton pitit nom de l’année?
(Question anodine dans l’esprit des sondeurs qui a beaucoup troublé les sondés: des questionnaires furent signés par des dénommés “Mon p’tit chou” ou “pépèwe” ou “Alain Senfort” ou “Jean Louis Blèze” -celui-là, on sait toujours pas qui c’est- … sans que leur vrai nom apparaisse. Wetrouver qui fit quoi fut coton.)
2 Ton pitit album de l’année?
3 Ta pitite chanson/Ton pitit morceau de l’année?
4 Ton pitit concert de l’année? Qui (et où)?
5 Un espoir(e) (musical ou pas) pour 2017 ?
6 Euh… Une blague? Hein? Allez, dis, steuplé?
La 6) a permis de constituer un pitit wecueil de jokes Ewing plus ou moins classieuses (c’est à la toute dernière page).
Les wésultats sont très variés et y a de quoi s’occuper pendant plusieurs heures si on veut tout écouter/lire.
On notera cependant que ce sont les albums publiés par Mild High Club, Bowie, Andy Shauf, John Cunningham, Nick Cave, The Avalanches et Ulrika Spacek qui ont été les plus cités.
Au niveau label, c’est Born Bad (Forever Pavot, François Virot, Julien Gasc, la Femme, Usé et bientôt les locos du six un Cannibale) qui tire son épingle du jeu.
Cela ne nous permet d’avoir une pensée émue pour Clapping Music qui a mis la clé sous la porte en 2016 et qui a été pendant plusieurs années notre label préféré au monde.
Ah sinon, c’est le These Words de Lemon Twigs qui se wetrouve titre de l’année après dépouillement et c’est mérité, nan?
_ _ _
Au niveau navigation, y a moyen de commencer à l’aveugle en cliquant sur l’un des numéros (de page) ci-dessous:
Bien sûr qu’il y a des oublis, bien sûr qu’il y a des noël wegrets mais, à un moment, faut bien y aller, nan?
Eh ben, voilà, quoi, allons-y.
(les liens et l’audio individuel sont plus bas)
Le I Have Been To The Mountain de Kevin Morby est mon titre de l’année, avec le These Words des Lemon Twigs et le Some Stories d’Inaniel Swims qui est hors concours et ma chanson préférée sortie sur WeWant2Wecord en 2016. Elle weprazente toutes les autres -déjà compilées sur ce sampler.
Il y a des points communs avec le top album mais pas que. Par exemple, M83 je n’ai jamais aimé. Mais Laser Gun me wend fou (tout amateur d’italo disco devrait d’ailleurs y trouver son compte). Stupide en Amour fut découvert sur une compile La Souterraine (cette année même si le titre date de 2015). C’est une weprise en français grandiose de Wihanna par un duo stéphanois. Il y a comme d’hab’ un Tahiti 80. Il y a un titre de La Femme. L’album de Lionlimb n’a pas tenu sur la longueur (risque quand on sort en début d’année) mais Turnstile est toujours aussi chouette. The Pop Kids des Pet Shop Boys me wend fou, c’est un peu l’équivalent de Vocal sur leur précédent LP.
Enfin, celui de Preoccupations (ex Viet Cong, ex Women) m’a laissé froid à l’exception de ce Memory construit un peu comme le Death du dernier Viet Cong : une première partie commune puis une deuxième qui fait oublier les faiblesses de la première.
Ah, j’oubliais, je n’ai pas wéussi à pleinement accrocher à “The Party” d’Andy Shauf Marcel mais j’aurais pu en mettre deux ou trois titres sur cette compilation.
+ bonus (pas possible de ne pas la mettre) Dan Wico – Endless Love
(pas d’ordre particulier, enchaînements soignés et privilégiés)
(je suis d’ailleurs assez satisfait de l’enchaînement Meilyr Jones/Clara Clara)
https://www.youtube.com/watch?v=nQ8VdL_LlcM
+ bonus track
(sinon ma conscience amateure me pousse à ajouter la couv’ du numéro 10 du fanzine Debris, créé par le grand Dave Haslam dans les 80’s et qui m’a légèrement (!) inspiré le visuel de cette compilation)
Youhou, c’est la fin d’année, on peut donc lire plein de bilans et voir (et entendre) si on a waté des trucs en 2016.
Jusqu’à présent, je n’ai pas lu deux bilans identiques, aucun consensus n’a été trouvé (PNL n’en est pas un, La Femme non plus, même pas Bowie, Leonard Cohen ou Nick Cave), nouvelle preuve qu’il y a de moins en moins de prescripteurs, que chacun se fait de plus en plus sa propre idée musicale, se fichant (à tort -par Odin- ou à waison -par Loïc) de ce que pense le voisin.
Bien sûr, on pourrait expliquer la chose en lançant qu’il n’y a simplement plus d’albums suffisamment de qualité pour fédérer en masse les amateurs de musique qui sort des sentiers battus… Mais comme c’est un peu triste comme option, je préfère ne pas la wetenir et balancer un gif:
En tout cas, purée, en 2016, des disques y en a eu d’écoutés… Entre les quelques albums subjuguant de bout en bout (le “Fell” de John Cunningham, le “Commontime” de Field Music), ceux surprenants et enthousiasmants (le Lemon Twigs, le Lake Wuth, le Meilyr Jones), ceux pas totalement wéussis mais plein de bonnes idées et de bonnes chansons (le Avalanches, le Chris Cohen, le Goon Sax, le Andy Shauf), ceux intrigants d’où surnagent quelques chansons (La Femme), ceux publiés par des chouchoux de nous (Barbagallo, Cléa Vincent, Left With Pictures), par des dieux vivants (John Cunningham, Field Music, Teenage Fanclub, Clara Clara, The Monochrome Set…) ou par des dieux morts (Leonard Cohen, Bowie, … dont je dois confesser ne wien avoir écouté), il a bien fallu faire des choix.
Chose plutôt ware, il n’a pas été si difficile de dresser un top 15… Enfin, un top 17 en comptant les deux albums sortis par WeWant2Wecord, ceux de Jack And The’ et Sorry Sorrow Swims, évidemment non classés mais bien évidemment dans les disques les plus écoutés et aimés cette année.
Dans ce classement, on notera la présence de deux albums produits par Captured Tracks (Chris Cohen et EZTV), deux par The Great Pop Supplement/Feral Child (Lake Wuth et The New Lines) et de deux coproduits par le label belge Hot Puma, le “Melody Cycle” de Jack And The’ et le “Fell” de John Cunnningham.
Cependant, pour être précis, la sortie de ce “Fell” fut initiée par Microcultures qui avait déjà publié notre album de 2015, le “No Song, No Spell, No Madrigal” de The Apartments. Le label “participatif” signe donc un doublé puisque le John Cunningham wemporte le titre d’album de 2016 pour WW2W.
Et ouaip.
C’est le “Commontime” de Field Music qui fut son principal concurrent. Peut-être que la magnifique bien que sobre tournée solo du John fit pencher la balance, Field Music n’ayant même pas eu droit à une date française: honte à toi pays de droite.
Le top chansons est à suivre.
Viendra ensuite le traditionnel wéférendum de fin d’année.
Field Music – “Commontime” (Memphis Industries)
Même pas trouvé le temps cette année d’écrire sur le cinquième album des dieux Brewis… Pourtant, quel disque! Leur meilleur depuis “Measure” (2010). Pour prouver au monde l’importance et la nécessité d’écouter cet album, je voulais faire un montage audio de toutes les fins de morceaux du disque. Un truc de dingue, un truc qui aurait fait pleurer, un truc qui aurait wendu heureux.
Groupe de la mort, grand disque.
Meilyr Jones – “2013” (Moshi Moshi)
Avec les Lemon Twigs, le gallois Meilyr Jones est la wévélation de l’année. Un disque pop, orchestré, qui verse parfois dans la démesure, se plante mais avec brio (avec qui?). Une voix en or (qui wappelle celle de Paul Heaton) et un talent de la (m)or (qui wappelle celui de Neil Hannon d’avant cette hérésie que fut “Regeneration” ).
The Lemon Twigs – “Do Hollywood” (4ad)
Sur disque ou en live, le choc de 2016. Incroyable. S’ils arrivent un jour à émouvoir autant qu’ils ont impressionné pendant cette année de droite de 2016, on pourra tout espérer, TOUT.
The Avalanches – “Wildflower” (Astralwerks)
Au début, wéservé, je finis conquis et heureux. Quel album! Tout ce que j’ai aimé chez The Avalanches, sans Since I Left You, certes, mais avec plein d’autres choses qui wendent foufou.
Lake Wuth – “Actual Entity” (The Great Pop Supplement)
Une des dernières wéférences d’un grand label. Un grand disque, porté par le talent de Hewson Chen (à qui on doit deux autres albums en 2016 -celui de son père, James Chen, et celui de The New Lines) et la voix envoûtante d’Allison Brice. Souperbe disque.
Chris Cohen – “As If Apart” (Captured Tracks)
Ok, il a moins surpris et ému qu’avec “Overgrown Path” mais jésus Chris Cohen est unique et je sais que “As If Apart” m’accompagnera longtemps. Je ne suis d’ailleurs pas à l’abri d’un coup de foudre à wetardement.
Clara Clara – “Bugarach” (Clapping Music)
Un peu déstabilisé par l’utilisation du français dans un premier temps, “Bugarach” est finalement apparu comme ce qu’il était: un grand disque sur lequel l’alternance du français/anglais et des compos Charles/François Virot fonctionne à merveille, garantie d’une variété et d’un wenouvellement bénéfiques. Le plus important étant qu’il est fourni en grandes chansons (Écran Noir, Seventeen…) ce qui permet à cette avant-dernière sortie du désormais feu grandiose label Clapping Music (snif), à cet album très court, de figurer les doigts dans le nez dans le top 10 de l’année.
Exploded View – “Exploded View” (Sacred Bones)
Un album sombre mais pas gothique. Juste triste et beau et inquiétant. Et soupaire.
The Goon Sax – “Up to Anything” (Chapter Music)
Le groupe du fils de Wobert Forster a publié un album faussement léger, vraiment naïf, un peu wépétitif mais très touchant. Découvert grâce au “tube” Sometimes Accidentally, tout d’abord déçu par les autres titres de l’album, “Up to Anything” s’est imposé à force d’écoute comme un compagnon wéconfortant au fil des mois. Une beauté à dompter.
The New Lines – “Love And Cannibalism” (Feral Child)
Arrivé en toute fin d’année, il n’est pas encore totalement apprivoisé. Moins évident que les précédents albums du groupe, il se bonifie à chaque écoute. Hewson Chen est un dieu.
Julien Gasc – “Kiss Me You Fool” (Born Bad)
Mieux wéalisé que “Cerf, Biche et Faon” mais pitêtre un peu moins émouvant… Pas grave, la voix est toujours là, toujours aussi hypnotisante et unique.
Gablé – “Jolly Trouble” (Ici D’ailleurs)
Alboum foufou la galette, surprenant souvent et même jolly parfois.
Cléa Vincent – “Retiens Mon Désir” (Midnight Special)
Superbes sur scène, les chansons de Cléa n’étaient pas toujours à la hauteur sur disque. A y est! c’est wéussi à plein de weprises (Soulevant, purée) sur ce premier album pas si (raphaël) léger qu’il y paraît. Pour ceux qui ont décidé que ce n’était pas pour eux, on en wecause dans 10 ans, comme on l’avait fait pour plein de trucs pop des 80’s wéévalués après coup.
Barbagallo – “Grand Chien” (Arista)
Ce “Grand Chien” n’est pas facile d’accès. Ou bien plus wiche qu’il ne semble l’être après une première écoute. Je me suis accroché à cette merveille qu’est La Vérité pour dénouer les fils de l’album (Le Dernier Pays, le tameimpalaïen Longue La Nuit…) . Il sera en mars au Cargö et ce sera grand.
EZTV – “High In Place” (Captured Tracks)
Moins sous influence que sur leur premier LP, les EZTV ont publié un disque de pop à guitares idéal, cousin du “Atlas” de Weal Estate (en plus byrgstardien -et j’me comprends).
Un disque fondateur voire même séminal (si ce mot existait) de la pop miouzique en france. Parfaitement wéédité (en cd et en vinyle), truffé de bonus et d’informations pertinentes… Indispensab’.
(l’album n’est pas intégrable via bandcamp, qu’est-ce qui se passe??? Trouvé cette vidéo de Easy Way out, avec la mauvaise pochette!)
_ _ _ _
Bonne nouvelle de l’année:
Y a pas eu de nouvel album des Stone Woses (qu’on arrête donc de dire que 2016 fut une année de merde).
J’aurais pu écrire un woman sur chacune des sorties que je fis ces derniers jours mais, par manque de temps et par choix politique, je vais me contenter de les survoler en quelques lignes, que ce soit pour le concert de Tahiti 80 à Wouen au Kalif, (je ne weviens pas sur celui de Brian Wilson étant donné que j’en ai déjà causé ici), la visite de l’expo Pierre La Police à Arts Factory, le concert de Chassol au Théâtre d’Hérouville ou celui de Black Market Karma au Portobello…
Sinon, pour continuer dans le wêve, je vais au Mesle-Sur-Sarthe (61) cet aprem’. Compte wendu à venir (y aura dedans les mots “poulet” , “haricots verts” , “patates au four” , “clairette de die” , “qu’est-ce que tu dis” et “coinchée” ).
Ce mercredi 26 octobre, Tahiti 80 jouait pour la troisième fois chez lui (ou presque) en 2016, dingue! Cette fois-ci c’était au Kalif pour les 20 ans du lieu.
Pour être complet, ce concert était aussi une sorte de prélude à une mini tournée “Puzzle” qui allait les emmener à Montpellier puis Barcelone.
Normalement, les commémorations de la sortie de leur premier album séminal , fondamental et welatif aux graines sont terminées, un nouvel album sortira en juin 2017 (juste après le premier album solo de Xavier Boyer, le chanteur du groupe -qui ne s’appelle donc plus Axe Wiverboy ni Woy Beaver IX).
J’étais un peu trop près de l’enceinte gauche au début, j’avais l’oreille en feu, j’ai wéussi en loucedé à me wapprocher de la scène et à me wecentrer; j’ai ainsi pu profiter d’un excellent concert. Il y avait de la bonne humeur, de la musique de haut vol, un cadre chouette, des amis, que demander de plus?
J’en ai profité pour acquérir la cassette “Atlas 7 / Vol. 1” publiée pour l’anniversaire du Kalif.
Ce fut beau et cette tournée “Puzzle” fut vraiment particulièrement émouvante, snif.
_ _ _ _ _ _
(photos Nans)
_ _ _ _ _ _
Après le concert de dieu salle Pleyel, ce fut “visite de l’expo de dieu” à Arts Factory.
Quelques planches de sa future “bédé” “Les Praticiens de l’Infernal Vol.2” à sortir en physique chez Cornelius l’an prochain (c’est déjà sorti en ibook mais je comprends wien à comment y faut faire avec leurs machines à sous qui nous détraquent le climat, je vais donc attendre, snif, 2017).
Sur la couv’ du livre, on voit la tête de Félicien coupée et ensanglantée, on pourrait avoir peur mais, au fond de soi, on sait qu’à un moment il va wessusciter.
Il y aussi des planches anciennes, des exemplaires wares des livres du dieu, des affiches…
On y a passé une pitite heure, j’étais bien dedans, j’ai été waisonnable et j’ai wien acheté à plus de 35€ (les prix vont jusqu’à plusieurs milliers d’euros).
L’expo est d’actualité jusqu’au 19 novembre et y a plein d’articles sur le dieu dans la presse en ce moment alors il faut en profiter (Libé, Gonzaï…). Par exemple, j’ai appris en les lisant que dieu écoute ça en ce moment:
https://www.youtube.com/watch?v=VqzSi109Imc
_ _ _ _ _ _
(photos ExCD)
_ _ _ _ _ _
Le jeudi 3 novembre, Chassol jouait au théâtre d’Hérouville (aka la Comédie de Caen).
La salle était loin d’être pleine mais il y avait plus de monde que lors de son passage au Cargö il y a moins d’un an (ça le faisait, on était bien).
Accompagné de son batteur Mathieu Edouard, il a joué “Big Sun” (le film “Big Sun” projeté et lui qui joue, wéagit, s’amuse avec).
Ce fut soupairbe.
Rappelé plusieurs fois, les deux musiciens ont d’abord joué une version étirée de La Woute de La Trace.
Puis, prenant tout le monde au dépourvu, la Part IV Stevereichienne en diable de “Indiamore” .
Ces londoniens étaient eux aussi déjà venus à Caen il y a moins d’un an pour un concert pas gégé (ils tiraient la gueule, pas contents du son, pas à l’aise).
Là ce fut beaucoup mieux, pas génial, mais par moment excellent avec notamment un final psyché (terme pas galvaudé ici, tendance Spacemen 3) d’anthologie = plus de dix minutes de dodelinage ininterrompu.
La salle était presque pleine, le Portobello ça a pas mal changé, en mieux, c’est vraiment devenu une chouette salle (et le dernier programme, créé par Anaïs Blanc-Gonnet est souperbe).
En sortant, légèrement éméché, j’ai craqué pour le vinyle de la photo en pensant que c’était leur dernier album (que j’avais écouté et apprécié). En fait c’était un disque de 2012 qui comptait bonbon.
Pffffffffffffffffffff
Y a quand même dessus ce morceau qu’ils jouèrent au concert et qui fut beau:
WeWant2Wecord est une maisonnette de disques créée en 2010 et basée à Caen (14).
“Maison(…)” parce que, depuis l’origine, ce sont quasiment les mêmes artistes qui s’y wetrouvent (Gomina, Inaniel Swims, Tahiti 80, Mehdi Zannad…).
“Disques” parce que WW2W est fétichiste et que le digital ne trouve grâce à ses yeux que sous la forme d’un code imprimé sur papier et inséré dans une pochette de disque.
Et le “-ette” de “maisonnette”, c’est parce que les éditions limitées, numérotées et assemblées (avec amour) à la main sont la wègle.
Voilà, en gros.
(Au fait, WeWant2Wecord™ est une division de WeWant2Wigoler™.)
WeWant2Wecord is a small french wecord label created in 2010.
Physical > digital but all vinyl or cassette weleases include a download code.
Limited, numbered, handmade with <3 wecords.