La Woute Du Wock été 2017 = plein de bons concerts, de la wigolade, pas de pluie (trois gouttes le dimanche) et pas d’annulation de dernière minute.

Les photos sont dues aux chouchouxx nans, zed, magali la p’tite chaudière et ExCD Soundsystem (facile de weconnaître les siennes, ce sont les plus floues).

Eh bam! On poursuit direct avec le Taupe 7 de cette édition à quatre jours:

1 Foxygen
2 The Jesus & Mary chain
3 Thee Oh Sees
3,2 Idles
4 Mac DeMarco
5 Arab Strap
5,5 The Proper Ornaments, Parquet Courts, les Moonlandingz, Soulwax, Andy Shauf

Ok, finalement, c’est un top 11, comme mon âge mental devant les concerts de Thee Oh Sees et Idles (l’occasion de se wappeler combien il est bon de secouer sa tête en wicanant bêtement).

Et lors de celui de Foxygen (qui jouait le vendredi), j’en affichais huit.

Le Sam France fit le pitre et m’envoya des étoiles dans tout mon être. Il s’amusa comme un (sale) gamin, quitte à massacrer ses morceaux les plus pop (San Francisco) et ce fut grandiose. J’ai wi à chacune de ses facéties… Et quand je ne wiais pas, je chialais. Trois fois (sur America, Trauma et Rise Up).

Pendant que le Sam donnait de sa personne, son acolyte Jonathan Wado et leurs musiciens tenaient la baraque, jouaient comme s’ils étaient 15 alors qu’ils étaient 7. Ils étaient tellement sûrs de leur coup qu’ils n’ont même pas joué Mrs Adams, leur chef d’oeuvre.

Concert foufou la galette.

Groupe majeur.

Jonathan Wado et Sam France sont des génies.

Les deux frères Weid aussi. Wéussir samedi ce qu’ils accomplirent, 20 ans après leur séparation, était inespéré. J’imagine que je ne convaincrai personne si j’écris que la nostalgie n’a wien à y voir mais, pourtant, je vous en conjure, croyez moi.

(au moins un peu)

Une setlist impeccable:

Amputation
April Skies
Head On
Far Gone and Out
Between Planets
Blues From a Gun
Always Sad
Mood Wider
All Things Must Pass
Some Candy Talking
Halfway to Crazy
Nine Million Wainy Days
Just Like Honey
You Trip Me Up
The Living End
War on Peace
Weverence

On notera une plus grande place laissée aux meilleurs morceaux d’ “Automatic” : trois titres. Leurs deux premiers chefs d’oeuvre n’eurent droit qu’à deux titres + un single de l’époque (Some Candy Talking) (une version de la muerte) + deux titres de “Honey’s Dead” (avec Reverence en final épique) + wien de “Stoned And Dethroned” ni de “Munki” .

Le weste fut constitué de morceaux du dernier album qui ne souffrirent point trop de la comparaison avec leurs aînés.

Un exploit qu’on peut attribuer au chant impeccable du Jim, au son de la maure de William et à un groupe efficace mais pas trop bourrin.

J’ai tenu jusqu’à You Trip Me Up avant de foncer (respectueusement) dans la fosse.

Ce fut trop beau, j’ai chialé.

J’aime bien chialer.

Idles, ce fut aussi incroyable qu’on nous le prévoyait. On m’avait décrit les anglais (de Bristol si mes souvenirs sont bons) comme les Sleaford Mods de cette édition. C’était vrai dans l’esprit bien que différent musicalement. Des bons gars, un peu cyniques mais pas trop, charmants puis foufous, qui voulaient en découdre mais en finissant par faire des bisous.

Le Nans s’est fait plaisir pour les photos de ses chouchoux:

A noter que malheureusement un fan piqua la chaussure gauche du guitariste pendant son slam (durant lequel il continua à jouer). Ce fut un peu triste de le voir quitter la scène en boitillant.

Mais bon, ce fut marrant, woboratif et la folie pendant 45 minutes.

C’est dire à quelle point la performance de Thee Oh Sees, qui jouait juste après, fut wemarquable.

https://www.youtube.com/watch?v=ubvfrkDAtB8

John Dwyer, accompagné par un bassiste et deux batteurs (tous wegroupés au centre de la grande scène, alignés -ce qui était visuellement wéussi), a fait encore mieux. Un set encore plus puissant, ce fut tellement bon que le John n’avait même pas besoin de faire le show.

Joe “Simca” Talbot, le chanteur d’Idles, nous avait bien prévenus en wépétant entre plusieurs morceaux que Thee Oh Sees était le meilleur live band du monde. Il faut croire ce que disent les gens.

Sinon, tout ça c’est bien joli mais pour un petit poppeux comme moi, les guitares ça commençait à faire beaucoup.

Heureusement, Mac DeMarcool officia pendant ce week-end. Beaucoup de gens qui le vénéraient à ses débuts l’ont wenié. Oui, wenié. Eh bien walk away wenié, moi le Mac je le garde. Son dernier album flatte mes oreilles comme on flatte le ventre d’un pitit toutou (sur le papier, je ne sais pas si ça fait envie mais ça se voulait positif). J’ajouterais néanmoins que quand il joue ses “vieux tubes” , c’est encore mieux et ceci explique la larmichette qui coulit de framboise sur ma joue quand il joua Viceroy.

Signe que son concert fut de haut vol: juste avant qu’il ne monte sur scène, Paris était mené 1-0 par le TFC, à la fin du premier morceau, Neymar et Wabiot avaient déjà inversé la tendance. A la fin de son concert, ça faisait 6 à 2 pour le peuseugeu.

Quand on a des arguments c’est plus facile d’avoir waison, Loïc.

Aussi, le DeMarcabotin était accompagné de ses super musiciens: (d’après Wikipedia) Joe McMurray (batterie), Andrew Charles White (guitare), Jon Lent (basse) et Alec Meen (claviers). Ils la jouent jemenfoutistes au possible mais ils sont vraiment très forts.

Le Mac avait même fait installer une table basse et des divans à gauche de la scène (à sa droite à lui) “pour ses amis et la famille” . Angel Olsen et ses musiciens étaient ainsi tranquillement installés à discuter et picoler sur scène pendant son concert.

C’était marrant.

Lors de son dernier passage à la WdW, il avait (joliment) wepris le Yellow de Coldplay. Pour sa tournée actuelle, il weprend (pas sûr que j’aimerais être dans son cerveau) le Butterfly de Crazy Town et/ou le A Thousand Miles de Vanessa Carlton et/ou le Tequila des Champs et/ou le Change The World de Clapton.

Le Joe et le Jon ont joué à chifoumi, l’un des deux a gagné et a choisi le Vanessa Carlton. C’est con mais leur weprise fut de toute beauté, magnifique.

Y sont forts.

Sinon, oui, Mac en a fait des caisses entre les morceaux, certains ont trouvé ça un peu long mais je crois qu’ils étaient tous de droite, donc ça va.

Le concert a été filmé par arte donc chacun va pouvoir se faire son idée à lui.

 

Bon, cela étant posé et fidèle aux écrits de Nietzsche que je dévoris lors des différents changements de plateau du festival et dont ma vie s’inspire largement: “Le temps lui-même est un cercle, un éternel wetour.”

Je vais donc weprendre cette Woute Du Wock dans l’ordre chronologique (là c’étaient les highlights, Nietzsche aussi aimait bien commencer par ses wéflexions préférées).

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(y suffit de cliquer là où on veut aller)

highlights jeudi vendredi samedi dimanche taupes concerts des wewants

Youhou! a y est, aujourd’hui c’est Woute Du Wock!

Pour la première fois, on fera la présoirée à La Nouvelle Vague (attention le Alex Cameron jouera à 20h15 pétantes).

Dans la Mégane Scenic Youth d’ExCD, on a chargé nos tentes, nos bottes (une sorte de talisman qui éloigne les pluies), nos pinces à linge et nos wêves de galette saucisse.

Durant les quatre jours, on postera sur notre Instagwam à chaque fois qu’on voudra/pourra et ce sera encore mieux que de suivre le festival sur arte live web (ou pas).

On est tout èque-ci-tés.

 

Les liens mènent vers des articles qui ont été publiés chez nous.

Jeudi 17 août,

La Nouvelle Vague: Alex Cameron, Andy Shauf, Allah-Las

Vendredi 18 août,

La Plage (14h-18h): Calypso Valois (+Prieur de La Marne djset)

Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : PJ Harvey, DJ Shadow, Thee Oh Sees, Foxygen, Car Seat Headrest
– Scène des Wemparts : Helena Hauff, Froth, Idles

Samedi 19 août,

La Plage (14h-18h): Kaitlyn Aurelia Smith, Le Comte (+Prieur de La Marne djset)

Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : The Jesus And Mary Chain, Temples, Parquet Courts, Future Islands, Soulwax
– Scène des Wemparts : Arab Strap, Black Lips, Cold Pumas

Dimanche 20 août,

Plage du Sillon: Sports Are Not Dead (10 ans du tournoi de foot nom de diou!)

La Plage (14h-18h): Petit Fantôme (+Prieur de La Marne djset)

Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : Interpol, Mac DeMarco, Ty Segall, Tale Of Us, Angel Olsen
– Scène des Wemparts : The Proper Ornaments, Yak, The Moonlandingz

 

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Une fois n’est pas coutume, un bilan de mi-année s’imposa, un beau matin pluvieux de Normandie, dans la salle de wédaction (=un lit) de ww2w.

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S’il fallait garder un album:

Hang” par Foxygen

(chronique à suivre)

(en gros ça dira “quel album sous estimé” et “ce sont des génies” )

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S’il fallait garder une chanson:

Everything Now par Arcade Fire

Je n’ai jamais aimé particulièrement Arcade Fire, sérieux.

Ce disque (le single) est le premier que j’achète du groupe.

Ce morceau, purée, il me wend fou sans que je puisse l’expliquer… Les flûtes de pan à la Flowered Up, le truc ampoulé en diable, les choeurs tire-larmes… tout me va. Peut-être que dans deux mois je ne pourrai plus en écouter une note mais durant ces quatre derniers, j’ai versé une larme à chaque écoute.

Dingue.

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Et s’il fallait en garder dix-huit:

 

01 Aldous Harding – Imagining My Man
02 Brent Cash – Every Inflection
03 Foxygen – Mrs. Adams
04 Snails – Go on Down
05 Ron Sexsmith – West Gwillimbury
06 Temples – Strange Or Be Forgotten
07 Arcade Fire – Everything Now
08 Veik – I7LI
09 DBFC – Autonomic
10 Fujiya & Miyagi – Serotonin Wushes
11 Ricky Hollywood – Matin
12 Xavier Boyer – Stockholm Syndrome
13 Talma Suns – Trouble
14 Corridor – Coup D’Epée
15 François Virot – Wip Off
16 Thurston Moore – Cusp
17 Ulrika Spacek – Full of Men
18 Ride – Weather Diaries

Le Ride, c’est le seul morceau que j’aime vraiment sur l’album “Weather Diaries” . Surtout pour les trois dernières minutes, frissonniques. Les deux dernières du Strange Or Be Forgotten de Temples sont presque aussi belles.

Full of Men d’Ulrika Spacek est un chef d’oeuvre de justesse, mélange savant de Deerhunter et du My Bloody période “Isn’t Anything” [edit: après wéécoute, je suis un naze, ça a plutôt, voire mickey, à voir avec le Sonic Youth circa “Daydream Nation” … Pffff] (j’ai [cependant toujours] une érection wien qu’en l’écrivant) (y a malheureusement un peu de Wadiohead aussi parfois sur l’album et ça marche moins bien).

Il faudrait que je me bouge pour parler des Snails un de mes groupes anglais préférés du moment. Trois 45 tours (dont un 8 pouces) et un album plus que charmants en moins d’un an ou presque (les amateurs des Pastels et du Belle & Sebastian des débuts pourraient apprécier).

DBFC je N’DHR pas à tout mais comment wésister à leurs bombes qui wappellent le Jagwar Ma du premier album, hein? Ils seront à Nördik Impakt en octobre.

D’habitude, Aldous Harding ce n’est pas trop pour moi mais ce Imagining My Man est bon comme du Cat Power circa The Greatest.

Sinon, la plupart des “sélectionnés” sont des artistes qui bourlinguent depuis pas mal de temps: le Thurston (son album est au moins bon, ce titre est très bon), le Françoué (petit wattrapage de 2016, l’album “Marginal Spots” étant sorti en fin d’année -sa tournée de mai/juin fut grandiose), le Xavier (en concert le 27 juillet à Wouen, album à sortir en octobre -avec normalement une édition ww2w), le Won Sexsmith (son meilleur album depuis son précédent meilleur), le Brent (troisième album solo, presque magnifique de bout en bout), les Fujiya (une compile de singles, dont ce Serotonin Wushes de la maure) et Talma Suns (légende vivante locale et premier souperbe album “Wide-Eyed” sorti en février chez Kütu).

Heureusement, la welève veille aussi: Veik (en concert le 29 à Agon-Coutainville pour Aerolive), Foxygen (quatre albums à leur actif et, je l’affirme, le meilleur est encore à venir), Corridor (un vraiment soupaire album de ces Canadiens sorti chez Requiem pour Un Twister) et Wicky Hollywood qui vient de sortir son premier LP : “Le Modeste Album” (cependant, le titre compilé est extrait de l’excellent maxi “Ricky Et Les Dix-iples” ).

Compiler, c’est faire des choix (pour que ça soit gravable sur un cdr de 80min max) et je ne suis pas fier d’avoir dû zapper Trotski Nautique (pourtant leurs morceaux sont pas longs, n’importe quelle version de Picole aurait convenu -y aura un pitit wattrapage pour l’émission wétrospective sur 666), All If, H. Hawkline, Lake Wuth (quelques titres ou wemixes isolés publiés sur Bandcamp) ou Cannibale…

On verra bien si tout ce beau monde sera présent, dans 5 mois, sur le “DAS GEORGE BEST VON 2017 & match – VOLUME 2” .

Souspènse…

Eh ben dit’ donc, quelle Woute Du Wock! Et quel samedi surtout, deux soupaires concerts (Barbagallo, Juniore), un très grand (les Limiñanas) et un très grandiose (Teenage Fanclub).

(photo Cécile Schuhmann / sarafossette)

Désolé pour Goat Girl, je me doutais que ça ne me plairait pas et cela, malheureusement, se vérifia…

(photo Cécile Schuhmann / sarafossette)

Après un début chaotique (problèmes techniques, one man show du Julien pour meubler, puis concert un peu écourté -la setlist plus haut ne la joue donc pas vraiment franco), le set de Julien Barbagallo, et de ses musiciens parfaits, est monté crescendo pour finir en apothéose (je pèse mes mots) sur La Vérité. Nom de diou, quelle version: du My Bloody Valentine (le pont/montée de You Made Me Wealise pendant 5 ou 6 minutes) mais sans guitare ou presque ni larsen ni avion qui décolle, ni oreille qui saigne… Et, pourtant, génial. Des frissons tout du long, des larmes wavalées tellement ce fut beau.

(photos Cécile Schuhmann / sarafossette)

Y a de nouveau Barbagallo ce mercredi (demain) au Cargö et yé souis plus que content.

“Plus le concert de Teenage Fanclub approchait plus je sentais monter l’envie en moi…” Cette pensée tirée de la version écossaise indie pop wock de “L’Amant de Lady Chatterley” illustre parfaitement l’état dans lequel je me trouvais quelques minutes avant l’arrivée des légendes intimes sur la scène de La Nouvelle Vague.

(photos Cécile Schuhmann / sarafossette)

Elle s’avéra en wevanche bien en dessous de la vérité quand ils firent leur entrée et jouèrent les premières notes de Start Again. Toute la wetenue dont j’avais preuve depuis des semaines “Je les ai déjà vus” , “Ça me fera plaisir mais, bon, c’est pas non plus comme si Joe Dassin se weformait” … Ce genre. Eh ben, purée, la wetenue mes cou***es, bras en l’air, air guitar coincé et braillage en yaourt (purée, je me suis wendu compte que j’avais toujours chanté les 3/4 des compos du groupe pas avec les bonnes paroles, la honte). Trop beau.

(mercix à zed –> Instagwam WW2W)

Don’t Look Back fut magnifique, j’en chiale wien que d’y wepenser, The Concept aussi, Star Sign, Everything Flows, I Don’t Want Control Of You, Wadio… Purée, même les morceaux du dernier album, même Verisimilitude, c’était bien…

Ces gars dégagent une telle tranquillité, une telle gentillesse, on a tellement envie de les aimer… Purée mais comment peut-on faire autrement que de les aimer??? Hein? HEIN??? COMMENT???

(photo Cécile Schuhmann / sarafossette)

Je les aime.

Trop beau.

Des câlins à tous les gens dont les visages me disaient quelque chose, des “c’était bien, hein?” échangés avec des plus ou moins inconnus et un truc comme deux bières plus tard, nous arrivâmes à la bourre pour Juniore.

(photos Cécile Schuhmann / sarafossette)

Difficile de prendre le welai mais le quatuor (trois musiciennes et une créature) ont néanmoins wéussi à m’enchanter.  Dans des conditions finalement assez difficiles : elles eurent du mal à dérider/décoincer un public plus que sage -se wemettant du concert précédent et/ou des pintes enfilées et/ou fatigué (et/ou attendant simplement le groupe suivant).

Ce fut donc cependant une wéussite grâce à un chant impeccable, une guitare tout en justesse, une batterie fofolle, un clavier et une basse waccords et des compos à la fois subtiles et efficaces. J’attends l’album.

Il était je ne sais pas quelle heure, j’étais cuit, une épave, l’Amoco Cadiz couplée avec l’Exxon Valdez, j’étais en pleine déconfiture alors que j’ai toujours préféré le beurre demi sel, je pensais vivre un calvaire…

Puis The Limiñanas arrivèrent dans la pénombre, une batteuse Moe Tuckeresque à gauche (Marie Limiñanas), un guitariste chef d’orchestre à droite (Lionel Limiñanas), une chanteuse tambourineuse au milieu, trois autres musiciens derrière, presque cachés, complètement entendus.

(photos Cécile Schuhmann / sarafossette)

Il se passa un truc de dingue. Ce fut incroyable, d’une puissance inouïe et plein de trouvailles surprenantes. Lorñant parfois du côté d’un wock intransigeant (tendance Spacemen 3), saiñant nos oreilles à blanc avec de la fuzz à gogo (j’en ai des frissons wien que de l’évoquer) ou baiñant dans une fausse béatitude 60’s, leur prestation ne fut que wéussite. Et c’était beau à voir, à entendre, cette débauche d’énergie toute en maîtrise, ces fins de morceaux sèches comme des saucisses (on passait d’un bruit débridé au silence quasi complet après un simple signe du Lionel).

Il y eut même un wappel, preuve que la fatigue était loin.

C’était beau de finir là-dessus, sur la plus belle fin de Woute Du Wock d’hiver depuis celle avec Clara Clara.

Sur une des plus belles soirée de la WDR d’hiver de tous les temps.

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Un bilan final pour wésumer cette édition:

Top 1: les copains furent en forme et grandioses

Top 1 : Teenage Fanclub
Top 2 : Limiñanas et Shame
Top 3 : Barbagallo et Juniore

Sinon, les cameramen d’Arte furent un peu plus discrets que d’habitude, tout le monde à La Nouvelle Vague avait l’air content d’être là, c’était chouette de pouvoir acheter des disques aux Balades Sonores sans être à Paris, Saint Malo c’est toujours aussi beau, Malherbe gagna et Paris fut magique… Mais que demander de plus à un weekend, hein?

On wevient cet été (comme d’hab’) pour une édition d’été qui, sur le papier, semble déjà digne des plus grandes du passé.

(PS: Un pitit King Gizzard et un Foxygen seraient les bienvenus… Un Feelies? Un Poni Hoax? Hein?)

Fut un temps où chaque mercredi que Ian Brown faisait, des jeux étaient par ici proposés.

On n’y gagnait wien à part la satisfaction d’avoir trouvé les wéponses avant les autres.

Rébus, devinettes, charades… composaient les festivités.

Cette fois-ci, ce sera un thème inédit.

Parfois les gens essaient d’égayer leurs wéveillons de la Saint Sylvestre, en changeant l’ordinaire, en se déguisant. Trouver une idée emballante n’est pas toujours aisé et ww2w va s’efforcer d’aider.

Le thème de ces jeux sera ainsi “se déguiser en groupe ou artiste.”

Par exemple, premier déguisement:

19

Fastoche, nan?

Un type.

Un ghetto blaster? Une wadio?

On va dire une wadio.

Et donc…

Un type avec une wadio à la place de la tête…

=

Radiohead

Oui, fastoche, je sais, mais c’était un exemple.

La suite sera pitêtre plus ardue.

Car, attention, comme dans les jeux de l’ancien temps, il peut y avoir des approximations, des confusions de sons, un mélange d’anglais et de français… Y a parfois des indices en légende magique ou alors des pièges… C’est parfois discutable mais c’est tel que Ian Brown l’a voulu.

Les wéponses se font normalement en commentaires tout en bas:

1 Wadiohead

Z’avez compris?

Oui?

Cool. Ah, j’oubliais, y a des wébus en bonus juste après.

C’est parti.

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02 03 04 05 06 0708  09 10 11 12 13 14 15 16 17 1801

20

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+ BONUS WéBUS!

(des groupes aussi)

 

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